Oui, c'est très probable.
En supposant qu'il s'agit d'une dépression secondaire (ex. suite à une infection au HIV), je pense qu'il faut tenir compte de la sévérité clinique de cette immunodépression (primauté donc de l'appréciation globale par le traitant !).
Voici un lien et un résumé (au cas où le lien ne marcherait pas) vers un cas rapporté il y a quelques années en Zimbabwe en rapport avec le type 2 chez un enfant qui, selon le rapport, ne présentait pas (encore) de signes cliniques d'infection au HIV.
Dr Nicolas Bakinde
Université de Fribourg
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