[Un communiqué de deux entreprises du médicament au sujet d'une association de deux de leur produit en un seul comprimé (Truvada® et Sustiva®). Plusieurs questions peuvent être posées : cette association représente-t-elle un intérêt pour les PED ? L'association Truvada-efavirenz ici présentée est-elle d'une efficacité supérieure à l'association Combivir-efavirenz ? La mise sur le marché de FDC de spécialités vise-t-elle à répondre aux FDC génériques ?
Qu'en pensent les e-mediens ? MD]
Bristol-Myers Squibb et Gilead annoncent des données confirmant la bioéquivalence du schéma posologique en proportions fixes réunissant en un seul comprimé Sustiva(R) (efavirenz) et Truvada(R)...
Bristol-Myers Squibb et Gilead annoncent des données confirmant la bioéquivalence du schéma posologique en proportions fixes réunissant en un seul comprimé Sustiva(R) (efavirenz) et Truvada(R) (emtricitabine et tenofovir disoproxil fumarate) Les sociétés prévoient de déposer une demande d'agrément d'un nouveau médicament au deuxième trimestre 2006
Bristol-Myers Squibb Company (NYSE : BMY) et Gilead Sciences, Inc. (Nasdaq : GILD) annoncent aujourd'hui l'obtention de données étayant la bioéquivalence d'une nouvelle formulation de l'association en proportions fixes du Sustiva® (efavirenz) de Bristol-Myers Squibb avec le Truvada® (emtricitabine et tenofovir disoproxil fumarate) de Gilead avec les composants qui constituent la nouvelle association. Le nouveau schéma posologique en proportions fixes est destiné au traitement de l'infection à VIH-1 chez l'adulte.
Le schéma posologique en proportions fixes a été conçu par recours à une technologie bicouche permettant de co-formuler Sustiva et Truvada sous la forme de couches formulées individuellement et réunies dans un seul comprimé. En août 2005, Gilead annonçait que les sociétés procédaient à l'évaluation parallèle de trois nouvelles formulations, toutes fondées sur la technologie bicouche.
Une étude de bioéquivalence est nécessaire pour démontrer qu'un produit co-formulé diffuse dans le sang les mêmes niveaux de médication que le dosage simultané de chacun des produits dans des comprimés distincts. Gilead et Bristol-Myers Squibb prévoient de déposer une Demande d'agrément d'un nouveau médicament auprès de la Food and Drug Administration (FDA, agence fédérale américaine pour le contrôle des produits alimentaires et pharmaceutiques) au deuxième trimestre 2006.
" Des progrès considérables ont été réalisés dans la lutte contre le VIH/SIDA, mais il reste du travail à faire ", déclare Anthony C. Hooper, Président de Bristol-Myers Squibb chargé des produits pharmaceutiques sur le marché américain. " Avec notre partenaire Gilead, nous allons poursuivre notre contribution à la progression de cette option de traitement potentielle innovante pour les patients atteints par le VIH ".
" La progression de notre schéma posologique en proportions fixes représente un grand pas en avant dans la simplification du traitement du VIH ", souligne le Dr. John C. Martin, Président-Directeur général de Gilead Sciences. " Gilead et Bristol-Myers Squibb ont en commun la détermination à offrir un traitement du VIH, une maladie pour laquelle d'importants besoins médicaux non satisfaits subsistent ; nous sommes impatients de collaborer avec les autorités de tutelle ".
En décembre 2004, Gilead et Bristol-Myers Squibb annonçaient la création d'une filiale commune américaine pour la co-formulation des antirétroviraux Truvada et Sustiva sous la forme d'un schéma posologique en proportions fixes. S'il reçoit l'agrément de la FDA, le nouveau produit constituera le premier schéma posologique complet de Thérapie antirétrovirale fortement active (HAART, Highly Active Antiretroviral Therapy) du VIH disponible sous la forme d'un comprimé combiné en proportions fixes et à prise quotidienne unique. Les associations en proportions fixes contiennent plusieurs médicaments formulés ensemble et peuvent contribuer à la simplification de la thérapie du VIH tant pour les patients que pour les prestataires. La filiale commune créée par les deux sociétés est la première du genre dans le domaine de la thérapie du VIH.
Les directives publiées par le Ministère américain de la santé et des services humanitaires (DHHS, Department of Health and Human Services) indiquent l'association d'emtricitabine, de tenofovir disoproxil fumarate et d'efavirenz comme l'un des traitements reposant sur des inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) privilégiés pour des patients n'ayant jamais pris de médicaments anti-VIH auparavant. L'efavirenz ne doit pas être utilisé au cours du premier trimestre de grossesse, en raison de risques pour le fotus. Les femmes traitées sous efavirenz doivent éviter d'être enceintes. Il importe que les patients sachent que les médicaments contre le VIH doivent être pris dans le cadre de schémas posologiques associatifs et qu'ils ne constituent pas des cures de l'infection à VIH ni n'empêchent la transmission du VIH à d'autres personnes.
Informations importantes à propos de SUSTIVA® (efavirenz) SUSTIVA est un médicament sur ordonnance utilisé en association avec d'autres médicaments pour le traitement de personnes infectées par le virus d'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1). SUSTIVA ne constitue pas une cure de l'infection à VIH ni n'empêche la transmission du VIH à d'autres personnes. SUSTIVA ne doit pas être pris en même temps que Hismanal® (astemizole), Propulsid® (cisapride), Versed® (midazolam), Halcion® (triazolam), les médicaments à base d'ergot (par exemple, Wigraine® et Cafergot®) ni Vfend® (voriconazole). Cette liste de médicaments n'est pas exhaustive. Les patients doivent signaler à leur praticien tous les médicaments avec ou sans ordonnance, vitamines et suppléments de phytothérapie ou autres préparations (millepertuis en particulier) qu'ils prennent ou prévoient de prendre.
Les patients sous SUSTIVA doivent signaler immédiatement à leur médecin tout effet secondaire ou affection, notamment : dépression aiguë, réflexions étranges ou comportement coléreux, qui ont été constatés chez un faible nombre de patients. Quelques cas de suicide ont été évoqués, mais il n'est pas certain que SUSTIVA en ait été la cause. Les sensations vertigineuses, troubles du sommeil, somnolences, difficultés de concentration et/ou rêves inhabituels sont courants. Ces sensations tendent à disparaître après quelques semaines de prise de SUSTIVA.
Les femmes doivent éviter d'être enceintes ou d'allaiter pendant la prise de SUSTIVA. Des anomalies congénitales graves ont été observées chez les enfants de femmes traitées par SUSTIVA pendant leur grossesse. Les femmes doivent impérativement utiliser une forme fiable de méthode anticonceptionnelle obstructive telle que le préservatif, même si elles utilisent également d'autres méthodes contraceptives. Les patients doivent signaler à leur médecin tout antécédent de maladie mentale ou de prise de drogues ou d'alcool. Les éruptions cutanées transitoires constituent un effet secondaire courant qui disparaît généralement sans modification du traitement. Ces éruptions cutanées transitoires peuvent constituer un problème grave pour certains enfants. En cas d'éruption de ce type chez un enfant, il convient de contacter le médecin traitant immédiatement. Les patients souffrant d'une maladie hépatique, présentant des antécédents d'épilepsie ou qui suivent un traitement contre l'épilepsie peuvent demander un bilan hépatique ou des niveaux de drogue dans le sang.
Des modifications de la masse adipeuse ont été observées chez certains patients sous traitement contre le VIH ; la cause et les effets à long terme de ces modifications ne sont pas connus pour le moment. Les autres effets secondaires courants sont : fatigue, troubles gastriques, vomissements et diarrhée. SUSTIVA doit être pris loin des repas, de préférence au coucher, ce qui peut rendre certains effets secondaires moins gênants. SUSTIVA et les autres médicaments anti-VIH doivent être pris exactement comme indiqué par les prestataires de soins de santé. Les Informations de prescription complètes relatives à SUSTIVA conformément à la législation américaine sont présentées sur le site www.SUSTIVA.com.
À propos de Truvada
Truvada associe Emtriva® (emtricitabine) et Viread® (tenofovir disoproxil fumarate) en un seul comprimé pris une fois par jour en association avec d'autres agents antirétroviraux. Aux États-Unis, Truvada est indiqué en association avec d'autres agents antirétroviraux (tels que les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse ou les inhibiteurs de la
protéase) pour le traitement de l'infection à VIH-1 chez l'adulte. Des études d'innocuité et d'efficacité utilisant des comprimés de Truvada ou une association d'Emtriva et de Viread sont en cours.
Emtriva et Viread ont fait l'objet d'études dans le cadre de schémas posologiques utilisant plusieurs médicaments qui ont conclu à leur innocuité et leur efficacité. Dans le cadre de l'étude clinique 303, Emtriva et lamivudine (3TC) ont présenté une efficacité, une innocuité et une résistance comparables dans le cadre de schémas posologiques utilisant plusieurs médicaments. Ces informations, de même que les conclusions de l'étude 903, dans laquelle étaient associés lamivudine et tenofovir, encouragent l'utilisation de Truvada pour le traitement de l'infection à
VIH-1 chez l'adulte novice aux traitements. Chez les patients ayant déjà suivi des traitements, l'utilisation de Truvada doit être décidée en fonction d'analyses en laboratoire et des traitements suivis antérieurement.
Aucun résultat d'étude ne démontre l'effet de Truvada sur la progression clinique du VIH-1 et il n'est pas recommandé d'utiliser Truvada dans le cadre d'un schéma posologique tri-nucléosidique.
Truvada ne doit pas être utilisé avec Emtriva ou Viread ou d'autres médicaments contenant de la lamivudine, y compris Combivir®, Epivir®, Epivir-HBV®, EpzicomT ou Trizivir®. Deux cent quatre vingt trois patients ont reçu une thérapie associant Emtriva et Viread à un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse ou à un inhibiteur de la protéase pendant 24 à 48 semaines dans le cadre d'études cliniques non closes. Selon les conclusions limitées disponibles, aucun nouvel effet indésirable n'a été identifié et aucun accroissement de la fréquence des toxicités établies n'a été constaté. Pour plus d'informations sur la sécurité d'Emtriva ou Viread en association avec d'autres agents antirétroviraux, le lecteur est renvoyé aux rubriques " À propos d'Emtriva " et " À propos de Viread " ci-dessous.
Des cas d'acidose lactique et de grave hépatomégalie avec stéatose, allant dans certains cas jusqu'au décès du sujet, ont été signalés en relation avec l'utilisation d'analogues nucléosidiques seuls ou en association avec d'autres antirétroviraux. Viread, Emtriva et Truvada ne sont pas indiqués pour le traitement de l'infection chronique au virus de l'hépatite B (VHB) et l'innocuité et l'efficacité de ces médicaments n'ont pas été établies chez les patients infectés à la fois à VHB et VIH. Des exacerbations aiguës graves de l'hépatite B ont été signalées chez des patients ayant suspendu la prise de Viread ou d'Emtriva. La fonction hépatique doit être surveillée attentivement par un suivi clinique et biologique pendant plusieurs mois au moins chez les patients qui interrompent la prise de Viread, d'Emtriva ou de Truvada et qui sont infectés à la fois par les virus VHB et VIH. Le cas échéant, la mise en place d'une thérapie contre l'hépatite B peut se justifier.
Un syndrome de reconstitution immunitaire a été signalé chez certains patients sous thérapie antirétrovirale associative comprenant Viread et Emtriva. Des modifications de la masse adipeuse ont été observées chez des patients prenant des médicaments contre le VIH et, notamment, Viread et Emtriva. La cause et l'effet à long terme de ces affections sur la santé sont inconnus.
Le composant principal de l'une des drogues constitutives de Truvada, le tenofovir disoproxil fumarate, a été découvert grâce à un effort de recherche en collaboration entre le Dr Antonin Holy, de l'Institut de chimie organique et de biochimie de l'Académie des sciences de la République tchèque (IOCB) à Prague et le Dr Erik DeClercq de l'Institut Rega de recherche médicale à l'Université catholique de Louvain, en Belgique. Les inventeurs ont accepté de renoncer à leur droit à redevance sur les ventes de produits contenant du tenofovir dans les pays en développement visés par le Programme d'accès de Gilead, afin de permettre la diffusion du produit à prix coûtant dans les régions du monde les plus durement touchées par l'épidémie de SIDA.
À propos d'Emtriva
Aux États-Unis, Emtriva est indiqué, en association avec d'autres agents antirétroviraux, pour le traitement de l'infection à VIH-1 chez les patients âgés de plus de trois mois. Cette indication repose sur des analyses des niveaux d'ARN VIH-1 plasmatique et des dénombrements de cellules CD4 résultant d'études menées dans des conditions contrôlées pendant 48 semaines sur des patients n'ayant jamais suivi de traitement antirétroviral et des patients ayant déjà suivi des traitements antirétroviraux qui étaient sans traitement virologique dans le cadre d'un schéma posologique de traitement du VIH. Chez les patients ayant déjà suivi des traitements antirétroviraux, l'utilisation d'Emtriva peut être envisagée pour les adultes présentant des souches de VIH susceptibles d'être sensibles à Emtriva, selon les indications données par des tests de génotype ou de phénotype. Chez les enfants âgés de plus de trois mois, l'innocuité et l'efficacité de l'emtricitabine est attestée par des données résultant de trois études cliniques ouvertes non randomisées dans lesquelles de l'emtricitabine a été administrée à 169 patients infectés à VIH-1, avec et sans antécédents de traitement, âgés de trois mois à 21 ans.
Les effets indésirables constatés chez plus de cinq pour cent des patients ayant reçu Emtriva avec d'autres agents antirétroviraux dans le cadre d'essais cliniques sont : douleurs abdominales, asthénie (faiblesse), céphalées, diarrhée, nausées, vomissements, étourdissements et éruptions cutanées transitoires (prurit, éruption maculopapulaire, urticaire, éruption de la vésicule biliaire, éruption pustulaire et réaction allergique). Un pour cent environ des patients ont mis fin à leur participation aux essais en raison de ces affections. Tous les effets indésirables ont été signalés avec une fréquence analogue dans les groupes sous Emtriva et sous traitement de contrôle, à l'exception de la décoloration cutanée, qui a été signalée plus souvent dans le groupe sous Emtriva. La décoloration cutanée, qui se manifeste par une hyperpigmentation des paumes et/ou de la plante des pieds, était généralement modérée et asymptomatique. Le mécanisme et l'importance clinique de cette manifestation sont inconnus. Chez les enfants âgés de plus de trois mois, le profil d'effets indésirables observé au cours des essais cliniques était analogue à celui des patients adultes, à l'exception de l'anémie et d'une hyperpigmentation plus fréquente.
À propos de Viread
Aux États-Unis, Viread est indiqué, en association avec d'autres agents antirétroviraux, pour le traitement de l'infection à VIH-1. Cette indication repose sur des analyses des niveaux d'ARN VIH-1 plasmatique et des dénombrements de cellules CD4 résultant d'études menées dans des conditions contrôlées de Viread chez des adultes n'ayant jamais suivi de traitement et des adultes ayant déjà suivi des traitements. Aucun résultat d'étude ne démontre l'effet de Viread sur la progression clinique du VIH-1.
L'utilisation de Viread doit être envisagée pour le traitement de patients adultes présentant des souches de VIH-1 susceptibles d'être sensibles au tenofovir, selon les indications données par des tests en laboratoire ou les traitements antérieurs.
Des interactions médicamenteuses ont été observées dans les cas d'administration conjointe de didanosine, d'atazanavir ou de lopinavir/ritonavir et de Viread ; des ajustements du dosage peuvent s'avérer nécessaires. Aucune donnée n'est disponible pour recommander un ajustement du dosage de didanosine chez les patients pesant moins de 60 kg.
Les patients sous atazanavir ou lopinavir/ritonavir plus Viread doivent être suivis afin d'identifier des effets indésirables associés à Viread qui pourraient justifier l'interruption du traitement. Lorsqu'il est administré en même temps que Viread, il est recommandé d'associer atazanavir 300 mg à ritonavir 100 mg. Il est déconseillé d'administrer de l'atazanavir sans ritonavir avec Viread.
Des affections rénales, parfois graves, ont été signalées. Les affections rénales surviennent le plus souvent chez des patients présentant une maladie systémique sous-jacente ou une maladie rénale ou encore chez des patients prenant en parallèle des agents néphrotoxiques, bien que certains cas se soient produits chez des patients ne présentant aucun facteur de risque identifié. Des diminutions de la densité minérale osseuse (DMO) dans la colonne vertébrale et la hanche et l'augmentation de marqueurs biochimiques du métabolisme osseux ont été observés avec l'utilisation de Viread.
L'importance clinique des modifications de la DMO et des marqueurs biochimiques est inconnue et le suivi se poursuit pour en évaluer l'impact à long terme. Les effets indésirables les plus courants et ceux qui sont constatés chez plus de cinq pour cent des patients recevant Viread avec d'autres agents antirétroviraux dans le cadre d'essais cliniques sont :
asthénie, douleur, douleurs abdominales, céphalées, nausées, diarrhée, vomissements, éruptions cutanées transitoires (prurit, éruption maculopapulaire, urticaire, éruption de la vésicule bulleuse, éruption pustulaire), flatulences, étourdissements et dépression. Moins d'un pour cent des patients ont mis fin à leur participation aux essais en raison de manifestations gastro-intestinales.
Déclaration prospective de Bristol-Myers Squibb Le présent communiqué de presse contient des " déclarations prospectives " (forward-looking statements), tel que ce terme est défini dans la Loi de
1995 intitulée Private Securities Litigation Reform Act relative au développement de produits. Ces déclarations prospectives reposent sur des prévisions actuelles et comportent des risques et incertitudes et, notamment, des facteurs susceptibles de retarder, de modifier ou d'altérer ces prévisions et d'entraîner des résultats considérablement différents de ce qui est actuellement prévu. Entre autres risques, rien ne permet de garantir que le produit associatif sera soumis à l'agrément des autorités de tutelle, que celles-ci accorderont leur agrément ni que s'il est agréé, qu'il rencontrera un succès commercial. Aucune déclaration prospective ne peut être garantie. Les déclarations prospectives figurant dans ce communiqué de presse doivent être évaluées en tenant compte des nombreuses incertitudes qui affectent l'activité de Bristol-Myers Squibb et, en particulier, celles qui sont décrites dans l'avertissement inséré dans le Rapport annuel de Bristol-Myers Squibb présenté sur le formulaire 10-K/A pour l'exercice clos le 31 décembre 2004 et dans nos Rapports trimestriels présentés sur le formulaire 10-Q. Bristol-Myers Squibb ne s'engage à actualiser publiquement aucune déclaration prospective, que ce soit suite à de nouvelles informations, à des événements ultérieurs ou autrement.
Déclaration prospective de Gilead
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