Salut à tous,
Je partage le point de vue de M. Edouard Guevart qui précise que l'environnement sale des "bidonvilles " n'est pas favorable au développement de l'anophèle. Au début de ce débat sur les 46 millions de MII distribuées, l'attention des e-Mediens a été focalisé sur le fait qu'il faut aussi s'occuper de l'environnement sale (pollué)de nos villes africaines. C'est vrai, les villes sont sales mais parlant du paludisme, cet état ne contribue pas à la prolifération du vecteur. Il y a d'autres vecteurs de maladies qui sont intéressés mais pas l'anophèle.
La lutte antivectorielle a eu un succès certain dans quelques pays dont la République Sud Africaine, mais, je ne sais pas pourquoi les pays d'Afrique Noire ont du mal à s'y engager. D'aucun rétorqueront que cette lutte coute cher, mais alors par rapport à quoi? Est ce qu'une étude cout efficacité a été faite? Si nous voulons approcher pour ne pas dire atteindre l'objectif concerné des OMD, la lutte contre le paludisme devra être selon plusieurs approches.
Bye and bet wishes,
Dr. Armand S. NKWESCHEU (MD, MPH)
Research Officer - Division of Health Operations Research.
Ministry of Public Health of Cameroon.
Office Tel: (237) 22 23 45 18 Fax: 22 23 45 79
Private:
Home Tel: (237) 22 20 96 98
P.O.Box 6266 - Yaoundé
Mobile phone (237) 99 95 84 49
Fax(Home): (237) 22 20 77 45
"If you don't learn to share when you don't have, you will not share even if you have" (Wilfred MBACHAM-2004)