Depuis que je forme, notamment en Afrique, des inspecteurs à savoir
inspecter, à vouloir inspecter et vouloir faire appliquer les textes (quand ces textes
le permettent), je m'aperçois qu'on se contente toujours de dire et non de
"faire". Faut-il compter les victimes de la rue à cause des médicaments, pour
faire disparaître cette plaie? ou bien compter ceux qui n'auront plus d'emploi (
chantage?) si on leur supprime d'un coup de baguette magique leur funeste
occupation, ou mieux ceux qui profitent "plus haut " de ce marché parallèle et
qui empêchent les inspecteurs d'agir?
Dr Nicole Ridolphi
Pharmacien Inspecteur Général
e mail ridolphinicole@aol.com