J'ai l'impression que c'est plus un problème de l’indépendance de la règlementation des produits pharmaceutique que de la profession.
Je comprends et suis solidaire avec l’indignation de mes confrères sénégalais, mais plutôt que de ramener ce problème a la dimension de la réglementation de la profession, ne serait-il pas plus rationnelle de le garder dans sa dimension de réglementation des produits de santé.
Si tel que décrit le problème est surtout sur la remise sur le marché des produits de qualité douteuse, cela devient un problème de santé public, tandis que la description de la réaction du syndicat fait plus penser à une réaction d’autodéfense pour la protection de notre profession (ce qui est louable en soit) mais risque de susciter des levés de boucliers.
Phn Anicet Nyawakira