Encore une fois de grosses confusions, il faut absolument différencier le
marché illicite et les faux médicaments. Lorsque l'on arrive au niveau du
judiciaire, dans un cas c'est exercice illégal de la pharmacie et dans
l'autre atteinte à la santé publique.
Comment peut on juridiquement accuser un grossiste de tremper dans le trafic
de faux médicaments sans avoir le résultats d'analyses approfondies pour
prouver le "faux médicament" ?
Quand au trafic vers l'illicite, il me semble important que dans les normes
demandées à ces grossistes pour autoriser leur exercice, il doit y avoir la
traçabilité des lots.
Serge Barbereau