[e-med] (2)Médicaments de mauvaise qualité en RDC: des conséquences préoccupantes (MSF-The Lancet)

Bonjour et merci pour l'article

Juste pour dire qu'à notre avis ça devait être plus un problème d'erreur
d'étiquetage, parce que comme tout le monde peut le deviné, ces criminels
falsifient à la quête d'un gain facile. Pour ce cas, je pense qu'ils ne
pouvaient pas se permettre de mettre de l'halopéridol à la place du
Diazépam, le premier est plus cher ​une bte de 1000 d'Halopéridol 5 mg
(34.5 $) contre 22 $ pour le Diazépam 5 mg du même conditionnement à notre
CDR, mais la traçabilité des produits qui entrent dans nos Pays est un réel
casse tète, nous encourageons MSF a aller jusqu'au bout de son enquête,
afin qu'on démasque ces criminels.

Merci

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*Ph. Richard MULAMBA BIAYA*
*Directeur adjoint CDR CAMESKIN Asbl*
*Email: mulabiri@gmail.com <mulabiri@gmail.com>*
*Tél: +243(0)810593609*

Bonjour,

Je partage le point de vue du Pharmacien Mulamba (qu' il s'agit ici sûrement d'une erreur d'étiquetage).
L'étude de MSF montre cependant combien la surveillance de la qualité des médicaments sur le marché est importante. Cette surveillance devrait se faire à tous les niveaux du circuit de distribution en intégrant tous les acteurs du secteur médico-pharmaceutique: pharmacien, médecins, infirmiers ... jusqu'au patient.

Cordialement,

Jean-Pierre Mufusama.
Mufusama Koy Sita Jean-Pierre, M.Pharm
Assistant à l'Université de Kinshasa (RDC)
Doctorant à l'Université de Würzburg (RFA)