Bonjour Dr OUEDRAOGO Arsène
je suis d'être intéressée par votre étude.
je pense que beaucoup d'être nous savent maintenant que les patients sous
traitement ARV meurent moins du SIDA mais plus des affections
opportunistes, des co-morbidités mais aussi des effets indésirables graves des
ARV d'utilisation à moyen et long terme. Peu d'études font cas de son
impact sur la sévérité ou l'amélioration de l'état du PVVIH en Afrique sub
saharienne et je crois en mon humble avis que beaucoup de patients VVIH qui
ne viennent pas à l'hôpital et qui ne sont pas sous traitement ARV sont en
grande majorité sous cette thérapie traditionnelle. je suis d'accord sur le
fait que cette thérapie ne saurai être écarté. A mon sens, elle est trop
encrée dans nos habitudes peu importe le niveau intellectuelle car cette
thérapie est utilisée soit pour son coté médical, coutumier soit pour son
coté religieux.
Dr MAMA DJIMA Mariam
Attaché de recherche à l'Institut Pasteur de Côte d'Ivoire
Pharmaco-épidémiologiste
madjimar@gmail.com