Bonjour mes amis:
Je m'excuse à nouveau pour mon mauvais français.
J'ai vu que le débat à propos des MNUs en France bouge encore.
Ça ne m'etonne pas, parce que vraiment à mon avis la discussion n'est pas facile..
Avant tout, je vous prie que me envoyez comment fonctionne materiellement la selection, tri des MNUs. Est-ce que il existe dans les pharmacies deux boites pour cyclamed, l'un pour médicaments périmés, et l'autre pour non perímés, ou seulement un?. Qui s'occupe du tri des MNUs reutilisables, le pharmacien ou l'organisation?. Quels critéres sont utilisés pour selectionner les MNUs, formes galleniques, familles pharmacologiques ? Enfin tout détail pourra m'aider dans cette tâche.
Si vous me le permettez, je voudrais aussi participer, et près de les idées de Jean-Louis.
Il y a quelques arguments qui sont toujours répetées comme appris par coeur dans ce débat:
Le premier est que ce que nous ne accepterions pas pour nous, ne devrions jamais les offrir a les autres, malgré ils en aient besoin. Un tel argument me semble un peu bizarre et hypocryte. Pourquoi bizarre?. Parce que en étant dans la situation de ces gens, je accepterai me traiter avec MNUs de bon grade, moi aussi. Hereusement ma chère mère ne fasait pas ces deductions pour nous soigner il y a beaucoup de temps. J'était le fils moins agé dans mon famille et j'ai utilisé les vêtements, des jouets, des lits, utilisés par mes frères et soeuers avant que moi, et... des MNUs domestiques aussi. Alors nous devrions mantenir une economie familliale, et ça ne me derangeait jamais querida mamá. Pourquoi Hypocrite? Parce que nous acceptons avec naturalité que nous voisins venus d'outre mer pour vivre avec nous, eux travaillent dans les tâches que ne nos plaisent pas, que nous nous n'acceptons nullement pour nous: femmes de menages, des employements durs de la campagne, serveurs, etc. Mais nous n'acceptons pas les rendre médicaments donts qu'ils ont besoin.
Le deuxième sujet toujours redigé est que nous ne devrions pas recuellir des médicaments dont la chaine pharmaceutique est encrassé. Mais alors, est-ce que pour assurer un tel chaine, nous devrions obliger a nos malades de prendre ses traitements devant nous, pour éviter un tel encrasement?. En tant que pharmaciens, nous ne sommes que unes des acteurs de l'acte therapeutique. Les médicaments ont une stabilité et les malades ont de la responsabilité pour conserver les médicaments dans bon état avant de les prendre, et de nous apprendre s'ils ont été bien ou non surveillées dans ses quand ils les approtent à la pharmacie comme MNUs.
Il y a quleques autres questions qui ne sont jamais ni posées ni évoquées :
Le première question a nous demander a été posé par Jean-Louis. On a écoute plusieurs fois que est-ce qu'il a passé quand les dons ne respectent pas un minimum de qualité: Les grands problemes a nouveau a additionner ou ils en existent dejá, malhereusement dans situations catastrophiques. Ils nous pousse a établir des normes pour les dons. Mais que est-ce qu'il est arrivé des l'elimination des donnations dans les endroits ou ils arrivaient d'habitude. Quelles sont cettes autres chiffres?. Peut-être la solution a été trôp drastique.
La deuxième question est à propos que dans le monde, le usage des MNUs a été defendu plusieur fois comme un outil pour combattre la manque de argent. Pendant "el corralito argentino" la reutilisation des MNUs était encoragée pour des autorités de la santé. Aux Etats-unis plus de vingt états ont reglé recemment leur lois pour pouvoir récuperer determinés MNUs sans contravenir la reglamentation de la FDA, mais en profitant de les récuperer pour les demunis. Certes, les États-unis n'ont pas le problemmes <<ethiques>> que nous en avons, pour employer son argent au meuilleur profit. La armeé americaine a un programme appellé SLEP (shelf life extension program), à but de ne jetter sans control tout ce que est perimé que regard aussi à... des médicaments. Ils arrivent à sauver plus de 300 dollars en médicaments par chacun des dollars qu'ils investient, Je ne connais pas encore nouvelles des soldats affectés négativement par le consommation des médicaments perimés mais soummis au slep program dans ce pays, programme qui fonctionne des plusieurs années. Dans nombreux pays les coûts de traitements du SIDA a reutiliser lesquelles d'eux qui ne aient été utilisés.
Je voudrais vous rappeller aussi que mon intention est de étudier la posibilité de utilisation des MNUs dans le mème pays de origine, d'un côte pour éviter les problems que ont fini par pousser a la OMS á rédiger ses recommondations des dons de médicaments, et de l'autre côte parce que dans nos pays, comme vous avez dit, il existe le quatrième monde. En évitant la sorti hors du pays, je ne compte pas avec des problems comme de burocratietie et des taxes a páyer en Douanas, méconnaissance de langue écrit dans les prospets des médicaments, origines des donnations ... De plus la communication et la distance physique, entre les donnateurs et les recepteurs est plus prochainne, en permmetant éviter des situations de cauchemar et les coûts des transports maigrent.
Je pense que ce que nous devrions analiser n'est pas <<la ethique>>, mais le rapport économique entre les côuts et les profits, c'est à dire la possibilité ou non de materialiser un bon travail en récuperant médicaments. Plus exactemment établir le argent (et non les poids ni le percent des médicaments du dispositif), que nous récuperons et avec que montant dépensé: de travail des pharmaciens en tri, de transport, etc. C'est pour ça que m'interresse à cyclamed et tout ces agents, et je reviens a vous demander information du fonctionement materiel du cyclamed, et la utilisation des MNUs.
Je vous remercie beaucoup de avoir eu de la patience pour me lire, et surtout je éspere que vous me excuserez le méconaissance de votre langage que je toujours me permets l'employer avec plaisir.
À bientôt mes amis.
Vicente Cascante
v.cascante.000@cofm.es