[e-med] Colloque sur les plantes m�dicinales

E-MED: Colloque sur les plantes m�dicinales
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ORGANISATION D'UN COLLOQUE INTERNATIONAL

PREMIER COLLOQUE REGIONAL SUR LE THEME :

"Plantes M�dicinales, M�decine Traditionnelle et Communaut�s Locales en
Afrique : D�fis et Opportunit�s du Prochain Mill�naire"

PRINCIPAUX ORGANISATEURS :
              - Centre de liaison pour l�environnement international,
                  Nairobi , Kenya
              -Global Initiative For Traditional Systems of Health (GIFTS
                of HEALTH), Oxford, Royaume Uni

En collaboration avec:
-The Commonwealth Working Group on Traditional & Complementary Health
Systems
-WHO/AFRO
-Rainforest Medical Foundation, Netherlands
-International Development Research Centre(IDRC),Nairobi, Kenya
-UNAIDS
-USAID
-IPGRI, Sub-Saharan Africa�s Medicinal Plant Species(SAFORGEN) Network
-The World Bank, Washington, USA
-DANIDA
-CAB International
-The Technical Centre for Agricultural and Rural Co-operation
(CTA),Wageningen, Netherlands

Lieu : International Centre for Research in Agroforestry, United Nations
Avenue, Nairobi, Kenya ; parall�lement � la 5�me r�union de la Conf�rence
Des Parties � la Convention sur la Diversit� Biologique

Le Centre de Liaison pour l'Environnement International (CLEI), bas� �
Nairobi, Kenya, et Global Initiative For Traditional Systems of Health
(GIFTS of HEALTH), Universit� d�Oxford, Royaume Uni, en collaboration avec
d'autres organisations, ont le plaisir de porter � la connaissance des
partenaires int�ress�es, qu'il organisera, du 16 au 19 Mai 2000, � Nairobi
au Kenya, un colloque international de quatre jours sur la promotion et la
mise en valeur des plantes m�dicinales et de la m�decine traditionnelle en
Afrique. Le Colloque comportera une s�rie d'expos�s, de posters et de
travaux en ateliers. Il se d�roulera parall�lement � la cinqui�me r�union de
la Conf�rence des Parties � la Convention sur la Diversit� Biologique,
pr�vue du 15 au 26 Mai 2000 � Nairobi au Kenya.

Les travaux de ce colloque seront centr�s sur les questions relatives aux
plantes m�dicinales utilis�es dans la m�decine traditionnelle humaine et
v�t�rinaire, aux pesticides extraits de ces plantes et aux plantes
aromatiques et cosm�tiques. Il est pr�vu que les repr�sentants de
gouvernements et de bailleurs de fonds, les hommes de science, les
chercheurs, les responsables politiques, les conservateurs de la nature, les
environnementalistes, les ONG, les agents de sant�, les gu�risseurs et les
praticiens traditionnels, etc. prendront part � ce colloque. Les
sp�cialistes en la mati�re en provenance des autres continents sont
�galement invit�s � participer aux travaux de ce colloque pour partager
leurs exp�riences ou pour �tre inform�s sur l'�volution r�cente enregistr�e
dans ce domaine en Afrique. Les langues officielles de ce colloque sont
l'anglais et le fran�ais.

Importance et but du colloque

L'on trouve des informations ayant trait aux plantes m�dicinales et � la
m�decine traditionnelle dans des documents et bases de donn�es publi�s �
l'intention des lecteurs dans une gamme vari�e de disciplines dont la
botanique, l'�cologie, la chimie, la m�decine, la science v�t�rinaire, etc.
Toutefois, il existe peu de publications qui font le point des travaux en
cours et qui passent en revue et analysent les progr�s r�cents en mati�re du
savoir-faire traditionnel ou qui mettent en relief des exp�riences locales,
des d�fis, des contraintes, et des possibilit�s concernant l'utilisation de
la m�decine traditionnelle, la pr�servation ainsi que l'exploitation et la
gestion durables des plantes m�dicinales. En Afrique comme ailleurs, la
plupart des publications disponibles sur les plantes m�dicinales et la
m�decine traditionnelle ont port� plus ou moins sur les travaux de recherche
� caract�re acad�mique et sur la conception de la m�decine traditionnelle
africaine, et ses rapports avec d'autres syst�mes m�dicaux. Cependant, les
population, les d�cideurs politiques et les communaut�s locales ont l'acc�s
limit� � ces publications, � cause de leur style acad�mique et leur raret�.

A l'�chelon mondial, la Convention sur la Diversit� Biologique, trait�
international sign� par plus de 170 pays membres de l'Organisation des
Nations Unies, fournit un cadre juridique international r�gissant la
pr�servation ainsi que la prospection de la diversit� biologique, y compris
l'acc�s aux mat�riels g�n�tiques et leurs �changes. Diverses approches sont
� l'essai � travers le monde afin de trouver les moyens de minimiser,
voire de r�duire et/ou de freiner l�appauvrissement de la diversit�
biologique, en particulier dans des zones de la plan�te biologiquement
riches comme les r�gions tropicales d'Afrique. Il s'av�re que la r�alisation
de l'objectif principal de r�duire la d�gradation de l'habitat, qui va de
pair avec l'appauvrissement de la diversit� bioculturelle est
malheureusement encore loin d'�tre atteint.

L'Organisation Mondiale de la Sant� (OMS) estime que 80% de la population
des pays en d�veloppement sont tributaires de la m�decine traditionnelle, en
recourant principalement aux m�dicaments extraits des plantes pour
satisfaire � leurs besoins de soins de sant� primaire. Par ailleurs, la
pharmacop�e moderne comporte encore 25% au moins de m�dicaments extraits des
plantes et bien d'autres produits synth�tiques analogues mis au point �
partir des compos�s prototypes isol�s des plantes. La demande des plantes
m�dicinales augmente aussi bien dans les pays en d�veloppement que dans les
pays d�velopp�s. Il est cependant �tonnant de constater que les grosses
quantit�s de mat�riel commercialis�es proviennent encore des r�coltes
sauvages dans des for�ts naturelles, alors que tr�s peu d'esp�ces de plantes
m�dicinales sont cultiv�es.

Par ailleurs, l'Organisation Mondiale de la Sant� (OMS) a d�sign� l'ann�e
2000, ann�e o� tout le monde devrait avoir acc�s � la sant�, objectif
louable mais qui est encore loin d'�tre atteint. Pendant que les
gouvernements africains font face aux co�ts �lev�s et � l�inefficacit� des
programmes officiels de sant� destin�s � la population, la m�decine � base
de plantes et les gu�risseurs traditionnels se voient accord�s une attention
particuli�re de la part de hauts fonctionnaires dans le domaine de la sant�
et de la recherche m�dicale, � l��chelon international et de la part des
�tablissements de formation m�dicale.

La hausse des prix des m�dicaments conjugu�e � la baisse du pouvoir d'achat
de la population en Afrique, suite � la d�valuation des monnaies africaines
et � des ressources nationales limit�es rendent obligatoire
l'intensification des efforts dans la production des m�dicaments � base des
plantes. Un certain nombre d'organisations internationales ont d�sormais
commenc� � appuyer en Afrique, des projets et programmes qui mettent �
profit l'acceptabilit� culturelle et �conomique des pratiques m�dicales
traditionnelles s�res et efficaces. Par contre, dans bon nombre de pays
africains, il n'existe des programmes unifi�s et coh�rents ni pour
promouvoir les plantes m�dicinales, la m�decine traditionnelle et
l'�thnopharmacologie, ni pour des pratiques durables de r�colte des
ressources biologiques. Diff�rents acteurs entreprennent � titre individuel
de nombreux travaux isol�s sans aucun appui institutionnel, et sans aucune
coordination � l'�chelon national et r�gional. Cette situation pourrait
mener souvent � un d�doublement des efforts ou � un usage peu efficace des
ressources disponibles en quantit�s limit�es.

Il existe encore des lacunes au niveau de la compr�hension du fonctionnement
des syst�mes du savoir-faire traditionnel de sant�, de leurs limites, de
leurs potentialit�s et de leurs perspectives. On observe un manque de
compr�hension de la vision globale propre aux gu�risseurs traditionnels et
du rapport entre le traitement bas� sur des approches spirituelles et celui
bas� sur les plantes. En ce qui concerne les aspects de la recherche en
rapport avec les plantes m�dicinales, la m�decine traditionnelle et les
communaut�s locales, un certain nombre de questions restent encore sans
r�ponses. Par exemple : Quels sont les rem�des traditionnels qui
fonctionnent le mieux, lesquels ont-ils �t� test�s et comment ? Comment
peut-on valider au niveau de la communaut� le savoir-faire, les pratiques et
les pr�parations relatives � la m�decine traditionnelle ? Quelles m�thodes
et quels outils faut-il utiliser ? Comment peut-on uniformiser ou
standardiser, au niveau local et au niveau des gu�risseurs, les pratiques de
la m�decine traditionnelle, et quelles m�thodes et quels �quipements faut-il
employer ? Dans quelles conditions la m�decine traditionnelle
fonctionne-t-elle le mieux ? Qui est-ce qui s'en sert et dans quelles
conditions ? Dans quelle mesure les communaut�s locales acceptent-elles les
pratiques de la m�decine traditionnelle ? Qu'est-ce qui a �t� fait pour
favoriser la collaboration et le respect professionnel mutuels entre les
m�decins modernes et les m�decins traditionnels ? Quels sont les aspects de
la m�decine traditionnelle qu'on peut combiner avec le style occidental de
la m�decine et comment ? Est-ce que toutes les plantes m�dicinales
africaines ont �t� identifi�es, r�pertori�es et document�es ? Avons-nous une
id�e sur les plantes en danger d�extinction, sur la nature et le nombre de
plantes d�j� disparues, et de plantes qui nous restent ? Comment peut-on
inclure les m�thodes traditionnelles de sant� dans un programme de recherche
m�dicale ? Comment le savoir-faire traditionnel local peut-il contribuer �
la diffusion, ainsi qu'� la conservation et l'utilisation durable des
plantes m�dicinales ? Quelles sont les limites et les potentialit�s des
croyances spirituelles relatives aux syst�mes traditionnels de gu�rison ?
Quels sont les pratiques et les croyances culturelles en Afrique qui �uvrent
en faveur de l'utilisation durable et la conservation des plantes
m�dicinales ? Quelles sont les m�thodes agro-�cologiques efficaces qui
favorisent la diffusion et la mise en culture des plantes m�dicinales
particuli�res ?

De nombreux pays africains �voluent derri�re le reste du monde en ce qui
concerne l'�laboration de politiques nationales relatives � l'acc�s aux
ressources g�n�tiques et aux �changes commerciaux des plantes m�dicinales.
Par cons�quent, il se d�veloppe entre les producteurs et les march�s
potentiels, un climat de m�fiance et de suspicion remarquables. Pour
accorder aux plantes m�dicinales la valeur appropri�e sur le march�
int�rieur et sur le march� mondial, il faut mettre au point des politiques
de nature � orienter de telles transactions. L'adoption des strat�gies
ad�quates cibl�es dans le but de sensibiliser davantage les responsables
politiques et les bailleurs de fonds � propos de la n�cessit� de promouvoir
l'utilisation durable et la conservation des plantes m�dicinales, ainsi que
la m�decine traditionnelle en Afrique peut servir de compl�ment aux efforts
de la recherche visant � atteindre cet objectif. C'est dans ce cadre que ce
colloque sera organis� parall�lement � la 5�me Conf�rence des Parties � la
Convention sur la Diversit� Biologique.

Le colloque passera en revue les initiatives en cours en faveur du
d�veloppement des plantes m�dicinales et de la m�decine traditionnelle en
Afrique. Il �tablira l'�tat des lieux en mettant en relief les
r�alisations, les programmes d'activit�s, les points � renforcer, les
mesures d'incitation qui s'imposent, les points forts et les points faibles.
Il mettra en exergue, les exemples de politiques, de recherches, de
l�gislation, d�actions locales pour t�moigner des efforts d�ploy�s �
l'�chelon national en vue de promouvoir les plantes m�dicinales et la
m�decine traditionnelle en Afrique, leur conservation et utilisation
durable. Le colloque contribuera � l'�change d'information sur le sujet en
question en faisant � la fois le point des travaux individuels, des
institutions et ceux relatifs aux exp�riences de communaut�s africaines. Il
mettra en relief le r�le vital jou� par les plantes m�dicinales et la
m�decine traditionnelle dans les soins de sant� publique et la n�cessit�
d'adopter des strat�gies et des mesures urgentes en faveur de ce secteur.

Objectifs du colloque

� Faire l��tat des lieux et diffuser les informations sur les travaux en
cours, les exp�riences et diverses initiatives de recherche dans le domaine
des plantes m�dicinales et de la m�decine traditionnelle en Afrique.
� Identifier les d�fis cl�, les exp�riences, et les perpectives dans le
cadre de la promotion des plantes m�dicinales et de la m�decine
traditionnelle en Afrique, ainsi que les le�ons pratiques qu'on peut tirer
de l'histoire r�cente de la Recherche et du D�veloppement dans ce secteur.
� Fournir aux parties int�ress�es des informations actualis�es, ainsi que
des propositions de projets et de recommandations d'actions orient�es vers
une approche syst�matique et int�gr�e visant le d�veloppement durable d'une
coop�ration ax�e sur les plantes m�dicinales et la m�decine traditionnelle
en Afrique.

THEMES DU COLLOQUE

1.Etat de la recherche et sa contribution dans la promotion des soins de
sant� primaires des communaut�s locales et dans l'utilisation durable et
d�veloppement des plantes m�dicinales, la m�decine et les pharmacop�es
traditionnelles en Afrique ;

2.Utilisation durable, commercialisation et conservation des plantes
m�dicinales en Afrique

3.Role et place des syst�mes de soins de sant� traditionnels dans la sant�
publique ;

4. Droits de propri�t� intellectuelle, d�veloppement des ressources
phytogenetiques m�dicinales, d�couverte et d�veloppement de nouveaux
phytomedicaments ;

Les domaines transversales suivants seront abord�s tout au long de la
conf�rence:

5.Mecanismes financiers et sources de financement ; partenariat, coop�ration
et collaboration
  Nord-Sud et Sud-Sud ;

6.Role du genre ;

7.Maladies prioritaires( ex: HIV/ SIDA, Malaria, etc.)

Sujets � traiter

Les communications � pr�senter au colloque pourront aborder les points
ci-apr�s :

1. Plantes m�dicinales, m�decine traditionnelle et pharmacop�e en Afrique :
Importance et tendance de la place et de la contribution de la m�decine
traditionnelle dans les soins de sant� primaire.
2. Le contexte mondial (bioprospection, Droits de Propri�t� Intellectuelle
(DPI), Accords sur les Aspects de Droit de Propri�t� Intellectuelle li�s au
Commerce (ADPIC), Convention sur la Diversit� Biologique (CBD), etc.) et
leur implication dans la promotion du secteur.
3. Aspects de la recherche participative dans le domaine des plantes
m�dicinales et de la m�decine traditionnelle en Afrique, tenant compte de la
participation des communaut�s locales (production des m�dicaments � base de
plantes m�dicinales d'Afrique, �tudes chimiques, biologiques et
pharmacologiques), ethnomedicine et d�couverte de nouveaux m�dicaments.
4. Travaux de recherche ant�rieure et en cours men�s pour r�soudre les
probl�mes de sant� des communaut�s locales ; �cart entre les objectifs de la
recherche en cours eu �gard aux probl�mes de sant� publique, et les besoins
et priorit�s des communaut�s locales.
5. Conservation et utilisation durable des plantes m�dicinales en Afrique ;
� Contribution des for�ts dans les soins de sant� communautaire (liens entre
la for�t et la sant�; d�forestation, son impact et ses cons�quences sur la
sant� de la population, diverses fa�ons par lesquelles la sant� de la
population est affect�e suite � la d�forestation, etc.).
� Diffusion et domestication des plantes m�dicinales en Afrique (ex :
exp�riences couronn�es de succ�s � l'�chelon du village, du pays ou de la
sous-r�gion), r�colte abusive et r�colte rationnelle, gestion des ressources
biologiques.
� Protection du savoir-faire et des pratiques traditionnelles associ�es �
l'utilisation des plantes m�dicinales et des syst�mes de la m�decine
traditionnelle (ex : proposition des m�canismes ad�quats, d�bats sur les
droits de propri�t� intellectuelle compte tenu du contexte africain, etc.).
� Mesures d'incitation �conomiques et politiques, et des instruments
juridiques r�gissant la conservation et l'utilisation durable (ex :
encouragement du secteur priv�, des chercheurs et des communaut�s locales.)
� Prospection de la diversit� biologique, commerce international et droits
traditionnels relatifs aux ressources des populations autochtones et des
communaut�s locales, partage des avantages et acc�s aux ressources
g�n�tiques m�dicinales.
6. Commercialisation et valeurs �conomiques des plantes m�dicinales au
niveau de la communaut� : (Aper�u du secteur des plantes m�dicinales
commercialis�es et leurs potentialit�s pour le d�veloppement de la
communaut�).
� L��conomie et les perspectives de l�industrie pharmaceutique � petite
�chelle en Afrique (�tat de production des phytom�dicaments, leur
commercialisation, leurs march�s et la valeur ajout�e par la transformation)
;
� Strat�gies � adopter pour accro�tre la g�n�ration de revenus, et la part
des profits issus des plantes m�dicinales et de la m�decine traditionnelle.
7. Int�gration de la m�decine et des syst�mes de gu�rison traditionnels dans
les syst�mes et programmes de sant� publique
8. Valeurs spirituelles et culturelles qui appuient la gu�rison et les
pratiques traditionnelles
9. M�canismes financiers, instruments et strat�gies d�information,
coop�ration r�gionale et internationale : Possibilit�s de financement,
identification des instruments, des m�canismes et des strat�gies pratiques
et efficaces de nature � renforcer l��change d�informations, la coop�ration
et la collaboration pour le d�veloppement du secteur.

10. Exp�rience des pays :
�tat actuel des plantes m�dicinales et de la m�decine traditionnelle � l�
�chelon national; ex : exemples des plantes m�dicinales les plus r�pandues
et leur utilisation. Qui fait quoi � l��chelon national, ex : des programmes
et cadre institutionnel de coordination et d�ex�cution, d�appui de la
Recherche et du D�veloppement, du r�le des ONG et des associations de
gu�risseurs traditionnels et des secteurs public et priv�, des mesures et
des strat�gies adopt�es pour la promotion de la m�decine traditionnelle et
des plantes m�dicinales, des efforts d�ploy�s afin d�int�grer la m�decine
traditionnelle dans les syst�mes officiels de sant� publique : avantages,
inconv�nients, cons�quences et obstacles, options politiques et principaux
acteurs. Place et importance de la m�decine traditionnelle dans le pays.

         11.Coop�ration Nord-Sud et Sud-Sud

12. Le�ons tir�es et nouvelles perspectives
Importance et avenir des plantes m�dicinales et de la m�decine
traditionnelle en Afrique (recherche future, mesures n�cessaires et d�fis
politiques auxquels il faut faire face ; aper�u des causes du probl�me
identifi� et des approches ant�rieurement mises en �uvre pour y faire face.
a) Limites et potentialit�s
b) Orientations futures
- Priorit�s de recherche
- Transfert de technologies et renforcement des capacit�s
- Planification & D�veloppement
- Options politiques
- Echange et gestion d�informations
- Strat�gies et m�canismes de coop�ration

INFORMATIONS GENERALES

M�thodologie du colloque

Les pr�sentations des communications dureront 20 minutes chacun et 45
minutes de plus pour les d�bats. Les communications devront �tre largement
accessibles en anglais ou en fran�ais. Les s�ances de travail consisteront �
la pr�sentation des communications, des affiches et des d�bats.

Les participants int�ress�s sont invit�s � organiser des travaux
particuliers en ateliers ou des d�bats ouverts en groupes sur un th�me
sp�cifique de l�atelier. Si vous souhaitez organiser une s�ance de ce genre,
veuillez contacter les organisateurs du colloque. Les langues officielles du
colloque sont l�anglais et le fran�ais.
N.B. : NOUS ENCOURAGEONS LES PARTICIPANTS A PRODUIRE DES COMMUNICATIONS
TRAITANT LES QUESTIONS A CARACTERE REGIONAL OU SOUS-REGIONAL

TRANSMISSION DU RESUME

Pour la transmission des r�sum�s, l�enregistrement ou pour la demande d�
informations, pri�re de contacter l�adresse ci-apr�s :

Dr.Ernest Rukangira
- par courrier �lectronique (erukangira@iconnect.co.ke)
- par t�l�copie (254-2-562175)
- par courrier ordinaire (Centre de Liaison pour l�Environnement
International, B.P. 72461, Nairobi Kenya).

Ou Dr. Gerard Bodeker
GIFTS of Health
Green College
University of Oxford
Oxford OX2 6HG, UK
Tel:01865-274770 Fax:01865-274796
courrier �lectronique : gerry.bodeker@green.oxford.ac.uk

Le r�sum� ne doit pas d�passer 500 mots. Vous pouvez l�exp�dier par l�une
des deux voies suivantes : sur papier (t�l�copie ou poste) ou par
transmission �lectronique. Il doit �tre r�dig� en anglais ou en fran�ais

TRANSMISSION DES RESUMES

Pri�re d�inclure les informations suivantes:
NOM : Noms de ou des auteur(s)
TITRE : Titre de la communication
COURRIER ELECTRONIQUE: Adresse du courrier �lectronique du principal
auteur, s�il y en a
ADRESSE : Adresse postale du principal auteur
TEL : Num�ro de t�l�phone du principal auteur, s�il y en a
TELECOPIE : Num�ro de t�l�copie du principal auteur, s�il y en a
Pour toute correspondance, on se servira du nom du principal auteur

La transmission �lectronique sera un message de texte ASCII clair
fournissant les d�tails suivants:

NOM : Nom du principal auteur
TITRE : Titre du document.
Courrier �lectronique : Adresse du courrier �lectronique du principal
auteur
Adresse : Adresse postale du principal auteur
T�l.: Num�ro de t�l�phone du principal auteur
T�l�copie : Num�ro de t�l�copie du principal auteur.

Dates importantes

Date limite de transmission du r�sum� : le 10 Mars, 2000
Notification de la d�cision du comit� : le 18 Mars, 2000
Transmission de textes pr�ts � �tre photocopi�s ; le 31 Mars 2000
Tenue du colloque : du 16 au 19 Mai 2000

Formulaire de pr�-enregistrement.

Mr/Mme/Dr./Prof :
(Pr�nom) :
(Nom) :
Organisme :
Rue : B.P.
Ville : Pays :
T�l.: T�l�copie :
(code du pays � code de la r�gion � num�ro) Courrier �lectronique :

Pri�re de retourner ce formulaire par t�l�copie ou par courrier �lectronique
avant le 26 F�vrier 2000, � l�adresse susmentionn�e.

Modalit�s de paiement

- Envoi d�un ch�que par poste (� l�ordre de �Centre de Liaison pour l�
Environnement International�) en dollars am�ricains ou en shillings Kenyans
Centre de Liaison pour l�Environnement International, B.P. 72461, Nairobi
Kenya, tel :(254-2)562022/576114/576154
      Fax : (254-2)562175

Montant: avant le 10 Mars 2000 : 150$US ; apr�s le 10 Mars 2000 : 250$US ;
paiement au lieu du Colloque :US $400

Le Centre de Liaison pour l�Environnement International (CLEI) bas� �
Nairobi, au Kenya, a �t� cr�e en 1974 dans le but de renforcer la
communication et la coop�ration entre les ONG et les communaut�s locales, d�
assurer la liaison entre les ONG et le Programme des Nations Unies pour l�
Environnement (PNUE), d�aider au renforcement des capacit�s des ONG et des
communaut�s locales dans les pays en d�veloppement et d�encourager le r�le
consultatif des ONG par le biais des organes de l�Organisation des Nations
Unies, le CLEI est une organisation non-gouvernementale internationale qui
regroupe 900 ONG dans plus de 100 pays.