L’accès au dépistage et au traitement sont des questions fondamentales pour les hépatites B et C et la co-infection VIH/hépatite
Le développement d’un nouveau traitement efficace sans interféron rend possible la guérison de plus de 90% des personnes souffrant d’une hépatite C chronique, y compris la plupart des personnes souffrant d’une co-infection au VIH et à l’hépatite C, ont annoncé les chercheurs lors de la deuxième réunion internationale sur la co-infection VIH/hépatite C, qui a précédé le congrès de l’IAS.
En ce qui concerne l’hépatite B, le traitement antiviral peut réprimer avec efficacité le virus à long-terme mais la plupart des individus ne sont toujours pas guéris.
L’expansion de l’accès au traitements couteux contre l’hépatite C est devenue une des questions clefs dans ce domaine puisque le défi concernant le développement d’un traitement très efficace et bien toléré a été en grande partie résolu.
Bien qu’il y ait un consensus croissant selon lequel le traitement serait bénéfique pour toutes les personnes souffrant d’une hépatite C, quel que soit le stade de la maladie, certains obstacles considérables demeurent, tel que le coût élevé du traitement.
En outre, une grande proportion des personnes souffrant d’une hépatite B ou C n’ont pas encore été dépistées, et les pays n’ont souvent pas une bonne compréhension de l’étendue de leurs problèmes de santé publique liés à l’hépatite virale.
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