Effectivement il faut en amont une volonté politique et une préparation.
Dans le cadre du RAMU au Bénin ces conditions semblent réunies.
Ensuite il faut une pérennisation du système car il coûte cher. Il est
évident que les cotisations ne suffiront pas à en amortir le coût.
Curieusement lors de la présentation, les autorités ne sont pas trop
exhaustives sur son financement en dehors de l'appui financier des PTF
soumis à des fluctuations conjoncturelles qu'elles ne maîtrisent pas alors
qu'une ligne budgétaire à hauteur de 15% devrait permettre cette
pérennisation.
S'inspirer de ce qui se fait dans les autres pays dans le domaine du Tiers
Payant permettra sans doute de ne pas refaire les mêmes erreurs.
Dr Francis Coste da SILVA