Je suis d'avis avec Mr Bukasa.
Les bénéfices tirés par ces commerçants des médicaments de la rue à eux seuls pourraient financés beaucoup de programmes de santé dans les pays en développement.
Un cadre de lutte doit être clairement défini par l'OMS. Et en charge pour les pays de faire appliquer les mesures.
Le fonds mondial qui finance particuliérement les programmes dont les médicaments sont les plus touchés par ce phénoméne dans les pays en développement(antipaludiques, ARV, antituberculeux...) doit pouvoir demander aux pays des plans d'actions de lutte avec des acteurs biens définis (ministére intérieur, ministére de la justice, ministére finances, organisations de pharmaciens, organisations de médecins...). Ces plans d'actions validés pourront être financés et évalués périodiquement.
Dr Talla Diop, Pharmacien
CES Contrôle Qualité des Médicaments
Région Médicale de Diourbel
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Diourbel-SENEGAL