Tout à fait d'accord. La première responsabilité revient aux partenaires internationaux qui ne jouent pas la règle de l'appui au développement. Que penser de ces programmes dans lequel une équipe fait une évaluation, (souvent sur une enveloppe financière) que une autre entité passe une commande et que le tout est livré dans le pays souvent à la centrale nationale qui se retrouve à n'être qu'un simple lieu de stockage....et qui sera accusé des ruptures de stock.....
Serge Barbereau