Bonjour et Merci pour cet article,
Cependant, ce débat ce n'est pas nouveau, d'autant plus que la télé en fait l'écho...
En plus des raisons cités dans l'article, aux dires de certains experts de santé publique maliens, le problème est aussi économique. La confirmation du diagnostic du paludisme étant biologique, cela entraîne un coût supplémentaire pour le malade qui, a déjà du mal à s'offrir des soins appropriés.
Ainsi une pratique s'est installée, comme partout en Afrique, celle du "diagnostic clinique", avec le traitement de la fièvre en première intention. Ceci se justifie d'un point de vu santé publique, mais c'est sûr que les biologistes n'ont jamais été d'accord la dessus.
Toutefois, il est vrai que le débat continue et que des solutions pour subventionner le test rapide vont être cherchées.
Olivier Inginda Ese, MD, MPH.
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