[e-med] Pour passer le cap 2006-200

Ch�res e-mediennes et chers e-mediens

Les mod�rateurs de e-med s'unissent pour vous souhaiter de bonnes f�tes de
fin d'ann�e et nos meilleurs voeux pour 2007.
Merci pour vos nombreuses contributions et remarques pertinentes en 2006,
nous esp�rons que 2007 sera toute aussi riche en �changes

Les mod�rateurs prennent quelques cong�s et reviendront vers vous le 2 janvier 2007

A tr�s bient�t donc...

Carinne Bruneton, Marc Dixneuf, J�r�me Dumoulin, Michel Laloge et J�r�me
Sclafer

Merci à ReMed et à ses coordonnateurs de choc, qui nous ouvrent sur le monde
en bouillonnement !

cordialment,

Bonne Année 2007 !

Agnès Certain
Pharmacien PH
CHU X.Bichat-Claude Bernard
75 018 Paris
T 01 40 25 80 05 (secrétariat)
ou 01 40 25 80 07 (laboratoire de garde)
F 01 42 63 58 25

A vous aussi, je souhaite de très bonnes fêtes de fin d'année et à nous revoir en Janvier 2007. Tous mes voeux pour la nouvelle année. Cordialement, Joëlle N'GOMA.

Mme Joëlle N'GOMA
Consultante en organisation
des entreprises et
conduite du changement.
Directeur projet CSM
Mairie de Creil
03 44 29 50 33

[de très nombreux voeux qui arrivent de tous les e-médiens et que nous rassemblons dans ce mail, merci à tous, CB]

Merci beaucoup Chers modérateurs,

Bonnes fêtes de fin d'année

Bonne et heureuse année 2007

Amadou TRAORE
abesongtraore@yahoo.fr

Côte d'Ivoire: Labobratoire national, le directeur demande le renforcement du matériel de contrôle
Notre Voie (Abidjan)
http://fr.allafrica.com/stories/200701050088.html
5 Janvier 2007
Publié sur le web le 5 Janvier 2007

Coulibaly Zié Oumar

"Il faut davantage d'équipements pour permettre au laboratoire de contrôler la totalité des médicaments de la pharmacie de la santé publique", a fait savoir Dr. Coulibaly Mamadou, directeur du Laboratoire national de la santé publique (LNSP), à l'occasion de la récente visite du ministre de la santé et de l'hygiène publique dans son laboratoire.

En effet, le LNSP est, selon le décret N° 91-654 du 9 octobre 1991 portant sa création, le laboratoire de référence en matière d'expertises analytiques, physico-chimiques et biologiques. A ce titre, il est chargé, entre autres, de veiller à conformité des produits destinés à la consommation ; de contrôler les médicaments, les plantes, les produits diététiques, les produits de para-pharmacie, les eaux de consommation et les denrées alimentaires. Le directeur a également milité pour davantage de moyens financiers pour son laboratoire. Il s'est cependant dit satisfait, dans la mesure où c'est le laboratoire national de la santé publique qui a déclaré qu'un type de riz entré récemment en Côte d'Ivoire est contaminé. Bien plus, il a été le premier à dire que les déchets toxiques déversés en Côte d'Ivoire le l9 août dernier n'étaient pas radioactifs.

"Ce qui a été confirmé par les européens par la suite", rappelle fier D.r Coulibaly. En matière d'équipement, le LNSP, à l'en croire, a acquis un matériel de contrôle de la fiabilité des préservatifs d'une valeur de 100 millions f de CFA, unique en Afrique de l'Ouest. De même, "nous avons reçu un équipement moderne d'une soixantaine de millions (...) qui permet de tester davantage la fiabilité des médicaments", ajoute le directeur qui a toutefois reconnu que cela ne suffisait pas pour contrôler l'ensemble des médicaments qui entrent dans le pays. Autre satisfaction du directeur, la démarche qualité que suit son laboratoire et qui a permis la certification ISO 17025, la norme des laboratoires.

Le LNSP, au vu de ses attributions, devrait être le passage obligé pour toutes les entreprises qui opèrent dans les domaines de l'alimentation et du cosmétique. Malheureusement, le directeur a expliqué qu'il n'existe aucun texte de loi qui oblige les entreprises à présenter les échantillons de leurs produits au LNSP pour contrôle. Pire, le laboratoire n'est ni présent à l'aéroport ni au port d'Abidjan où un important volume de produits entrent dans le pays.

Sénégal: MEDICAMENTS DE MAUVAISE QUALITE : 20 à 30 % vendus dans les pays sous-développés
http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=19734

« Qualité des médicaments au Sénégal et en Afrique », tel est le thème de réflexion de la 3e édition de la journée scientifique du département de Pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, qui s’est tenue samedi dernier à Dakar. Au cours de cette journée, les professeurs et professionnels de la Santé ont émis le souhait d’être impliqués dans la gestion et le contrôle des médicaments importés.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (Oms), sur l’ensemble des médicaments vendus dans le monde 10 % seraient de faux de médicaments et que 25 voir 30 % sont vendus dans des pays sous-développés, particulièrement en Afrique. Et le professeur Amadou Moctar Dièye, pharmacien commandant et chef du département des Sciences biologiques et pharmaceutiques appliquées de l’Ucad, de rappeler que ces médicaments de mauvaises qualités ont occasionné, en 1992 au Niger, 2.500 morts.

Le professeur Mounibé Diarra, chef du département de la Pharmacie, quant à lui, a expliqué pourquoi les pays pauvres sont plus exposés aux médicaments de mauvaise qualité. Selon lui, cela découle de la détérioration économique des pays africains où les pouvoirs publics éprouvent des difficultés à faire respecter la réglementation pharmaceutique et douanière.

M. Diarra d’annoncer que la situation est plus difficile dans les zones urbaines, où l’on assiste à la multiplication des marchés illicites des médicaments, ce qui facilite la circulation de produits de qualité douteuse, d’origine incertaine, à destination des populations démunies qui n’ont pas les moyens financiers d’accéder aux médicaments de qualité.

Le Pr Diarra, comme de nombreux spécialistes et professionnels de la Santé, demande que le secteur soit assaini. Pour cela, il faut que le Laboratoire national de contrôle des médicaments (Lncm), la direction de la Pharmacie et des laboratoires (Dpl), la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna), ainsi que la section Pharmacie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, ainsi que les professeurs et les professionnels de la Santé soient impliqués dans la gestion et le contrôle de qualité des médicaments importés ou fabriqués au Sénégal.

Par ailleurs, M. Diarra souhaite que des inspections strictes et régulières des médicaments soient établies et que l’on élimine les médicaments non-conformes aux qualités standard du marché. Le ministre de la Santé et de la Prévention médicale, M. Abdou Fall, qui présidait cette 3e édition de la journée scientifique sur la qualité des médicaments au Sénégal et en Afrique, a déclaré que la qualité des médicaments interpelle en premier lieu les pouvoirs publics, qui ont la responsabilité d’autoriser leurs importations, leur production locale et leur mise en consommation.

Les professionnels de la Santé sont aussi concernés parce que, ce sont eux qui dispensent des médicaments aux populations et en dernier lieu, les consommateurs qui en bénéficient. Abdou Fall d’ajouter que le gouvernement du Sénégal est conscient des drames que causent les médicaments de mauvaise qualité. C’est pourquoi, il a mis en place des stratégies qui visent le renforcement progressif du système de santé, pour une meilleure couverture sanitaire. Il s’agit, de l’avis de M. Fall, d’un dispositif législatif et réglementaire comprenant entre autres, un Laboratoire national de contrôle des médicaments, une Autorité nationale de réglementation pharmaceutique, des industries pharmaceutiques locales et une Faculté de médecine, de pharmacie et d’odontostomatologie.

Ces dispositifs mis en place par le gouvernement sénégalais permettront de faire face aux médicaments de mauvaises qualités, qui inondent les marchés noirs sénégalais et africains.

Le professeur Issa Lô a rendu un vibrant hommage au professeur Doudou Ba, parrain de la journée pour son parcours et le service rendu à l’Ucad.

EUGENE KALY

Bonjour,

Je suis à la recherche d'une université qui organisera le master en
épidémiologie ou en santé publique en France pendant l'année universitaire
2007-2008, j'en ai grandement besoin
Cordialement
Barnabé Rihanda
DAF/CAMEBU/BURUNDI
camebu@cbinf.com

Cher Barnabé, tu peux bien voir sur le site de l'université de Nancy. Je pense que tu pourras être satisfait. De toutes les manières, on pourra en parler vers la fin du mois ou au début du mois prochain quand je serai à Bujumbura.
  
http://www.sante-pub.u-nancy.fr/esp/course/view.php?id=3
http://www.sante-pub.u-nancy.fr/esp/course/view.php?id=4&topic=4

Gabriel Bukasa Kaleka,B.Pharm.,MPH
  
  MSH/RPM Plus
  DRC Office
  Mobile: +243 99 9005024
  Service: +243 99 9301015
  Kinshasa
  DRC
   
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Avis public d’appel à la présélection des fournisseurs,

POUR LA FOURNITURE DE MEDICAMENTS ESSENTIELS ET DISPOSITIFS MEDICAUX LANCE PAR LA CONGOLAISE DE MEDICAMENTS ESSENTIELS GENERIQUES (COMEG)
EN REPUBLIQUE DU CONGO

La Congolaise des Médicaments Essentiels Génériques, dénommée sous le sigle « COMEG», lance une procédure de présélection des fournisseurs pour la fourniture de Médicaments Essentiels et de Dispositifs Médicaux.
Cette procédure a pour objet d’évaluer la qualité du service et des produits proposés par les fournisseurs potentiels de la COMEG, et de dresser ainsi une liste de ses fournisseurs agréés.

L’agrément prononcé sera valable pour une période de 2 ans et permettra aux fournisseurs présélectionnés de participer aux appels d’offres restreints publiés durant cette période.

Les dossiers d’Appel à la Présélection des Fournisseurs, référencés sous le numéro COMEG / PSF01 / 2007, peuvent être retirés à partir du lundi 05 février 2007 auprès de la Direction de la COMEG, à l’adresse suivante :
COMEG
Zone Industrielle de Mpila
BP 1156, Brazzaville REPUBLIQUE DU CONGO
Tél: 00 (242) 551 00 36 / 666 54 95 / 572 72 57
Email: comeg_congo@yahoo.com

contre le versement d’une somme non remboursable de 100 000 francs CFA, à payer soit par chèque barré et certifié à l’ordre de la COMEG, soit en espèces déposées à la caisse de la COMEG, soit par virement bancaire au compte ouvert au Crédit Lyonnais cpte n° 20 205668 9 300 0 00 - REPUBLIQUE DU CONGO (merci d’envoyer une copie de l’ordre de virement) contre reçu.

À la demande des fournisseurs, le dossier d’Appel à la Présélection des Fournisseurs pourra leur être expédié par courrier électronique (gratuit) ou par courrier express contre le versement d’une somme complémentaire de 50 000 FCFA non remboursable à payer selon les mêmes dispositions.

Les dossiers de présélection seront adressés à la Direction de la COMEG, à l’adresse ci-dessus indiquée.

La date limite de dépôt des dossiers de présélection est fixée au vendredi 30 mars 2007 à 16 heures, heure locale. La présélection des fournisseurs reste cependant une procédure ouverte dans le temps : une mise à jour des dossiers de présélection déjà agréés peut être envoyée à tout moment à la COMEG.

L’ouverture des plis sera effectuée par la Commission des Achats de la COMEG en séance publique, dans les locaux du Projet PASCOB, 132 bis section 1, Ravin du Tchad, BRAZZAVILLE le lundi 2 avril 2007 à 9h30, heure locale.

Ce dossier doit être retourné A LA COMEG en trois (3) exemplaires, dûment rempli accompagné des documents techniques exigés et correctement classés, ainsi que les échantillons requis.

Jean de Dieu Obouaka
COMEG
Zone Industrielle du M’Pila
BP 1156 BRAZZAVILLE
République du CONGO
Tél: 00 (242) 551 00 36 / 666 54 95 / 572 72 57
Email: comeg_congo@yahoo.com