[e-med] (sans objet)

* Communiqué de presse 397 : Clôture des Assemblées des États membres
de l’OMPI
* Statement by MSF at WIPO General Assembly - September 30, 2004

Communiqué de presse 397
Genève, le 5 octobre 2004

CLÔTURE DES ASSEMBLÉES DES ÉTATS MEMBRES DE L’OMPI

Les assemblées des États membres de l’Organisation Mondiale de la Propriété
Intellectuelle (OMPI) se sont achevées le mardi 5 octobre 2004 après avoir
passé en revue les activités menées durant l’année écoulée et arrêté le
programme de l’Organisation pour l’année à venir. L’Assemblée générale de l’
OMPI, qui réunit les 181 États membres de l’Organisation, était présidée par
M. Bernard Kessedjian, ambassadeur et représentant permanent de la France
auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations
internationales ayant leur siège à Genève.

Dans ses conclusions, M. Kessedjian a remercié les délégations de leur
participation active aux travaux de l’Assemblée générale et s’est félicité
de l’esprit de coopération qui a caractérisé les discussions. Il a salué les
initiatives prises par différents États membres et s’est référé en
particulier aux négociations visant à mettre en valeur la dimension du
développement dans les activités de l’OMPI. Plus tôt, M. Kessedjian avait
déclaré que "la propriété intellectuelle n’est pas l’affaire de quelques-uns
uns, mais de tous. C’est un moteur de croissance et de progrès". Il a
indiqué que la propriété intellectuelle fait partie intégrante du
développement durable et que "ses avantages doivent être équitablement
partagés". M. Kessedjian a félicité les États membres pour les résultats
positifs qui ont été atteints et qui, a-t-il ajouté, donneront un nouvel
élan aux travaux de l’Organisation.

Les points essentiels de la session qui s’est tenue du 27 septembre au 5
octobre 2004 ont été les suivants (dans l’ordre du projet d’ordre du jour) :

L’Assemblée générale a approuvé le rapport sur l’exécution du programme au
cours de l’exercice biennal 2002-2003 et a pris note des résultats obtenus
par l’OMPI malgré les contraintes financières de l’Organisation. Les
rapports sur l’exécution du programme sont soumis aux États membres sur une
base annuelle et semestrielle selon le principe de gestion axée sur les
résultats adopté en 1998, afin d’informer les États membres des résultats de
l’action menée par l’OMPI au regard des critères établis dans le programme
et budget de l’Organisation. Au cours des assemblées, les États membres ont
notamment souligné les réalisations de l’OMPI en matière de promotion du
rôle moteur de la propriété intellectuelle dans le développement social,
économique et culturel dans le monde. De nombreux États membres se sont
félicités du large éventail d’activités d’assistance technique et juridique
déployées par l’OMPI pour promouvoir l’instauration d’une culture de la
propriété intellectuelle, la modernisation de l’infrastructure dans ce
domaine, la mise en valeur des ressources humaines et l’application des
traités internationaux. Ils ont demandé que l’OMPI reconduise son aide au
développement dans le domaine de la propriété intellectuelle et continue de
mettre sa compétence au service du renforcement des capacités nationales et
de l’intégration des aspects du développement dans les politiques de
propriété intellectuelle. Les États membres ont également pris note de l’
aperçu de la mise en œuvre du programme, qui donne des renseignements sur l’
exécution des principales activités au cours du premier semestre de 2004.

Les États membres ont passé en revue les questions en suspens concernant la
protection des interprétations et exécutions audiovisuelles et ont arrêté
les mesures à prendre à ce sujet (voir le communiqué PR/2003/367). Plusieurs
pays ont instamment demandé que les questions en suspens soient rapidement
résolues afin qu’un nouveau traité puisse être établi. Les États membres
sont convenus de maintenir la question à l’ordre du jour de leurs sessions
annuelles de 2005. Le débat international sur la protection des artistes
interprètes ou exécutants de l’audiovisuel remonte au début des années 90.
En 2001, une conférence diplomatique sur la protection des interprétations
et exécutions audiovisuelles a permis de réaliser des progrès considérables
dans la définition des droits des artistes sur leurs prestations
audiovisuelles, sans toutefois aboutir à un accord sur les questions
fondamentales de savoir si le traité sur les droits des artistes interprètes
ou exécutants doit ou non régir le transfert des droits de l’artiste au
producteur et, dans l’affirmative, selon quelles modalités. L’adoption d’un
nouvel instrument renforcerait la position des artistes interprètes ou
exécutants dans l’industrie audiovisuelle en définissant une base juridique
plus claire pour l’utilisation internationale des œuvres audiovisuelles,
tant sur les supports traditionnels que sur les réseaux numériques. Par
ailleurs, un instrument international contribuerait à préserver les droits
des artistes interprètes ou exécutants contre l’utilisation non autorisée de
leurs interprétations ou exécutions dans les médias audiovisuels, tels que
la télévision, le cinéma et la vidéo.

L’Assemblée générale de l’OMPI a demandé à un organe subsidiaire chargé du
droit d’auteur de poursuivre ses efforts en vue de la conclusion d’un
instrument international sur la protection des organismes de radiodiffusion
afin d’actualiser les normes internationales de propriété intellectuelle
relatives à la radiodiffusion à l’ère de l’informatique. Le Comité permanent
du droit d’auteur et des droits connexes, qui se réunira de nouveau en
novembre 2004, continuera de rechercher un consensus sur cette question. Si
un consensus suffisant était atteint, l’Assemblée générale pourrait décider
de convoquer une conférence diplomatique, qui constitue traditionnellement
la dernière étape vers l’établissement d’un traité. Le processus visant à
actualiser les droits de propriété intellectuelle des radiodiffuseurs
actuellement prévus par la Convention de Rome de 1961 sur la protection des
artistes interprètes ou exécutants, des producteurs de phonogrammes et des
organismes de radiodiffusion a réellement commencé en 1997. L’
intensification du piratage du signal observée dans de nombreuses régions du
monde, touchant en particulier les signaux numérisés avant la diffusion, ne
fait que renforcer cette nécessité (voir le communiqué PR/2004/386).

Les États membres sont convenus de convoquer une conférence diplomatique sur
la révision d’un traité international essentiel afin de simplifier et de
rationaliser les procédures relatives à l’enregistrement des marques. La
Conférence diplomatique pour l’adoption d’un Traité révisé sur le droit des
marques (TLT) actualisera le traité existant en alignant les procédures qu’
il prévoit sur les progrès techniques réalisés dans le domaine des
télécommunications au cours de la dernière décennie. La conférence
diplomatique, qui est traditionnellement la dernière étape de l’élaboration
d’un traité, se tiendra en mars 2006. Deux nouvelles sessions du Comité
permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des
indications géographiques (SCT) et une réunion préparatoire se tiendront
avant la conférence, afin de poursuivre les travaux sur les questions en
suspens. La révision du TLT prévoit l’incorporation dans le traité de
dispositions relatives au dépôt électronique des demandes d’enregistrement
de marques et des communications connexes, de dispositions concernant l’
enregistrement des licences de marques et de sursis en cas d’inobservation
de certains délais, ainsi que l’établissement d’une assemblée des parties
contractantes pour permettre l’actualisation des dispositions
administratives régies par le traité.

L’Assemblée générale a passé en revue les travaux du Comité consultatif de l
’OMPI sur l’application des droits et a encouragé celui-ci à poursuivre ses
activités. Le Comité consultatif a été créé par les États membres de l’OMPI
en 2002 en tant qu’instance de discussion des questions relatives à l’
application des droits, et il est chargé de fournir une assistance technique
et des services de coordination, de coopération et d’échange d’informations
dans ce domaine (voir Actualité 227/2004).
L’Assemblée générale a passé en revue les travaux du Comité
intergouvernemental de la propriété intellectuelle relative aux ressources
génétiques, aux savoirs traditionnels et au folklore de l’OMPI, qui devait
progresser vers la production de résultats au niveau international sur les
questions relevant de son mandat. Cet examen était fondé sur un rapport de
situation (document WO/GA/31/5) demandé par l’assemblée lorsqu’elle avait
donné un nouveau mandat au comité intergouvernemental, en 2003. Les États
membres se sont félicités des progrès réalisés vers la réalisation de
résultats concrets, sous forme de dispositions relatives à la protection des
savoirs traditionnels et des expressions du folklore, ou expressions
culturelles traditionnelles. Ces dispositions constituent une étape vers l’
établissement d’une communauté de vues à l’échelon international sur les
objectifs et les principes fondamentaux de la protection, en vue de
préserver les intérêts des communautés traditionnelles et autochtones. Le
rapport indique que ces dispositions pourraient former la base d’un
instrument international dans ce domaine. Des projets de documents ont été
établis et distribués pour examen par le comité intergouvernemental en
novembre (voir les documents WIPO/GRTKF/IC/7/3 et WIPO/GRTKF/IC/7/5). Les
États membres ont également passé en revue des activités débordant le cadre
du comité intergouvernemental, notamment des initiatives en matière de
renforcement des capacités et un programme intensif de coopération, de
coordination et de dialogue avec d’autres organismes compétents des Nations
Unies, avec les représentants des communautés autochtones et locales et avec
la société civile.
L’Assemblée générale a également examiné un aspect fondamental du lien entre
le système des brevets et les régimes juridiques régissant l’accès aux
ressources génétiques et le partage équitable des avantages découlant de l’
utilisation de ces ressources. Plusieurs pays ont modifié leur législation
relative aux brevets afin d’exiger des déposants qu’ils donnent des
renseignements précis sur les ressources génétiques ou les savoirs
traditionnels utilisés dans les inventions revendiquées.

Plusieurs États membres de l’OMPI ont également demandé que les normes
internationales soient modifiées dans le même sens. Cette question a été
soulevée dans plusieurs instances de l’OMPI, ainsi que dans d’autres
organisations internationales. L’OMPI avait auparavant établi une étude
technique sur la question à l’invitation de la Conférence des Parties à la
Convention sur la diversité biologique (CDB). S’étant réunie plus tôt dans l
’année, la Conférence des Parties avait accueilli cette étude avec
satisfaction et invité l’OMPI à examiner et à traiter certains aspects
particuliers de la question (document WO/GA/31/8). L’Assemblée générale est
convenue d’un programme de travail détaillé pour l’élaboration de cette
nouvelle contribution aux travaux de la CDB. La réponse sera fondée sur des
propositions des États membres et examinée lors d’une réunion
intergouvernementale qui se tiendra en mai 2005 et mettra en présence les
États membres, des organisations intergouvernementales et les ONG
accréditées. La Conférence des Parties à la CDB a signalé qu’elle
transmettrait des informations supplémentaires à l’OMPI dès lors qu’elle
aurait reçu ce document supplémentaire. Ce partenariat et ce dialogue
constants entre les deux organisations, qui ont récemment conclu un accord
de coopération, visent à promouvoir les objectifs de la CDB en matière de
conservation et d’utilisation durable des ressources et de partage équitable
des avantages. L’OMPI et le Programme des Nations Unies pour l’environnement
(PNUE) publieront sous peu une étude approfondie, réalisée à leur demande,
sur le rôle de la propriété intellectuelle dans le partage des avantages
selon la CDB.

Les États membres ont débattu une proposition des délégations des États-Unis
d’Amérique et du Japon concernant l’établissement d’un nouveau programme de
travail pour le Comité permanent du droit des brevets (SCP) en ce qui
concerne le projet de traité sur le droit matériel des brevets (SPLT). Cette
proposition consistait à donner dans un premier temps la priorité à l’
examen, au sein du SCP, de quatre questions relatives à l’état de la
technique et à reporter l’examen des autres questions relatives au droit
matériel des brevets en attendant la résolution de cette première série de
questions. Si la proposition a été appuyée par un certain nombre de
délégations, elle a été rejetée par plusieurs autres, au motif notamment qu’
une série restreinte de questions exclurait de la discussion certains
aspects auxquels elle attache de l’intérêt (tels que les exceptions
générales, les dispositions relatives au transfert de technologie et à la
protection de certains domaines d’intérêt général, comme la santé publique,
la biodiversité et l’alimentation). À l’issue des délibérations, l’Assemblée
générale a adopté une déclaration reconnaissant que la proposition présentée
par les délégations des États-Unis d’Amérique et du Japon n’a pas fait l’
objet d’un consensus et indiquant que les dates de la prochaine session du
SCP seraient fixées par le directeur général à l’issue des consultations
informelles qu’il pourrait mener.

L’Assemblée générale de l’OMPI est convenue de poursuivre l’examen d’une
proposition présentée à l’origine par un groupe de pays en développement
pour mettre en valeur le développement dans tous les travaux de l’OMPI.
Compte tenu des activités déjà menées par l’OMPI dans le domaine du
développement, qui ont recueilli l’adhésion des pays en développement, l’
Assemblée générale a décidé de convoquer des réunions intergouvernementales
intersessions pour examiner les propositions présentées à l’origine par l’
Argentine et le Brésil et les autres propositions des États membres. Ces
réunions seront également ouvertes aux organisations intergouvernementales
et non gouvernementales (ONG) accréditées auprès de l’OMPI. Un rapport sur
ces questions sera présenté à l’Assemblée générale en 2005 pour examen.
Cette décision appelle également l’organisation, en coopération avec d’
autres organismes multilatéraux, d’un séminaire international sur la
propriété intellectuelle et le développement ouvert à toutes les parties
prenantes, y compris les ONG, la société civile et les milieux
universitaires.

Les États membres de l’Assemblée de l’Union du Traité de coopération en
matière de brevets (PCT) ont pris note des progrès réalisés dans la réforme
du PCT, modifié en conséquence certaines règles du règlement d’exécution et
arrêté les priorités des travaux futurs. L’Assemblée de l’Union du PCT a
également pris note de la situation des systèmes informatiques du PCT,
concernant notamment le traitement électronique des demandes internationales
selon le PCT. Elle a poursuivi l’examen des initiatives récentes prises par
l’OMPI en vue d’améliorer la collecte et la publication des statistiques de
propriété industrielle pour élargir les possibilités de consultation et d’
utilisation des statistiques de brevets. Un atelier OMPI-OCDE sur l’
utilisation des statistiques de brevets se tiendra à l’OMPI les 11 et 12
octobre 2005. L’Assemblée de l’Union du PCT a par ailleurs examiné une
proposition d’ajustement des taxes du PCT et est convenue que l’examen de
cette question devrait être confié au plut tôt au Comité du programme et
budget de l’OMPI et, si nécessaire, donner lieu à la convocation d’une
session extraordinaire de l’Assemblée de l’Union du PCT.

Les États membres de l’OMPI ont également été informés de la situation des
recommandations approuvées en 2002 en vue de modifier les Principes
directeurs concernant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de
domaine (principes URDP) afin de prévoir la protection des noms de pays et
des noms et sigles d’organisations intergouvernementales. Ces
recommandations sont actuellement examinées par l’Internet Corporation for
Assigned Names and Numbers (ICANN). Le Centre d’arbitrage et de médiation de
l’OMPI est la principale institution de règlement des litiges liés à l’
enregistrement abusif de noms de domaine sur l’Internet (Voir le communiqué
PR/2003/363).

Conformément au souci de transparence de l’Organisation et à sa volonté d’
ouvrir les débats aux parties prenantes, les États membres de l’OMPI sont
convenus d’octroyer le statut d’observateur au Secrétariat du Commonwealth
en sa qualité d’organisation intergouvernementale et à plusieurs
organisations non gouvernementales, à savoir : le Center for Innovation Law
and Policy, le Centre pour le droit international de l’environnement (CIEL),
la Civil Society Coalition (CSC), l’Association européenne des médicaments
génériques (EGA), la Fédération des scénaristes d’Europe (FSE), l’
Association pour une infrastructure de l’information libre (FFIIe.V.), la
Free Software Foundation Europe (FSF Europe), l’Independent Music Companies
Association (IMPALA) et l’Organisation pour un réseau international des
indications géographiques (ORIGIN). Cette décision a été prise conformément
à une série de principes régissant l’admission de ces organisations en
qualité d’observatrices établis par les États membres de l’OMPI en septembre
2003. Les organisations jouissant du statut d’observateur sont invitées à
assister aux sessions des assemblées de l’OMPI et aux autres réunions qui
les intéressent directement.

Trois autres organisations non gouvernementales nationales susceptibles d’
apporter des contributions constructives et importantes aux délibérations
des États membres de l’OMPI se sont vu octroyer le statut d’observateur
conformément à une décision prise par les États membres de l’OMPI en octobre
2002. Il s’agit de l’Electronic Frontier Foundation (EFF), de l’Institut
japonais de l’invention et de l’innovation (JIII) et du Picture Archive
Council of America (PACA).

À l’heure actuelle, 66 organisations intergouvernementales, 181 ONG
internationales et 13 ONG nationales ont le statut d’observateur auprès de l
’OMPI.

Pour plus de renseignements, on peut s'adresser à la Section des relations
avec les médias et avec le public (OMPI) :

Tél. : (+41 22) 338 81 61 ou 338 95 47
Tlcp. : (+41 22) 338 88 10
Mél. : publicinf@wipo.int

bonjour,

J'aimerai bien avoir la composition et surtout la mission d'un comité du médicament

dr el badaoui mohamed
directeur de la pharmacie
Comores

Etant presque voisin, je me fais un devoir de vous transmettre notre
expérience à l'hôpital de Soavinandriana, à Tananarive, Madagascar.
Dans notre hôpital nous avons créé le comité du médicament depuis deux ans.
Le comité est composé de sous commission pour chaque grande spécialité. La
CME a nommé sur candidature spontanée deux coordonnateurs par sous comité.
Les sous commissions se réunissent au moins une fois par an. L'ensemble des
prescripteurs sont informés des dates de réunion des commissions et
assistent à celle qui les interressent. La décision de la commission est
opposable à l'ensemble des prescripteurs de l'établissement. Elles arrêtent
la liste des médicaments détenus à la pharmacie de l'hôpital et peux et doit
être à l'origine de recommandations sur le bon usage des médicaments
relevant de sa spécialité. Ceci peux être fait par la rédaction de
protocole, de conduite à tenir dans la spécialité (ex traitement de la crise
d'asthme, crise HTA...). Dans la pratique de notre établissement nous avons
surtout travaillé à la création de la liste des médicaments détenus à
l'hôpital et à l'écriture du livret du médicament (prêt mais non édité,
faute de budget...). Mais notre objectif pour l'année à venir est
d'effectivement oeuvrer dans le sens de la promotion du bon usage des
médicaments. La liste des médicaments issus de chaque sous commission est
soumise à validation de la CME et une fois validée , elle est applicable à
l'ensemble des prescripteurs.
Voici les sous commisssions crée :
ANESTHESIE-REANIMATION
ANTALGIQUE-ANTI-INFLAM.-RHUMATOLOGIE
ANTI-INFECTIEUX
CARDIOLOGIE - PNEUMOLOGIE
MEDECINE INTERNE
NEURO-PSYCHIATRIE
GYNECO-OBSTETRIQUE
ORL-OPHTALMO-ODONTO-STOMATO
PEDIATRIE
Nous n'avons pas intégré les administratifs, ni les soignants (IDE). Peut
être ultérieurement si le besoin s'en fait sentir!
Cécile MOURLAN
Pharmacien hospitalier
Hôpital de Soavinandriana
101 ANTANANARIVO
MADAGASCAR

Au CHU de Cocody Abidjan le comité du médicament est défini comme suit:

BUT
Le comité du médicament et des dispositifs médicaux est chargé de définir et
de mettre en oeuvre la politique du médicament avec pour objectif, un usage
rationnel une disponibilité efficiente et une maitrise des coûts des
médicaments et des dispositifs médicaux.

MISSIONS
- La sélection des principales molécules(DCI) sur proposition des services
médicaux après une évaluation medicale et économique.
- La participation à la réalisation, diffusion et actualisation du livret des médicaments et dispositifs médicaux.
- Le suivi de la qualité et de la securité du circuit hospitalier du
médicament, des produits sanguins et des dispositifs médicaux.
- la collecte des fiches d'alerte déterminant les effets nuisibles constatés
de certaines médications.
- La formation et l'information des praticiens à l'usage rationnel des
médicaments, produits sanguins et dispositifs médicaux.
- Le contrôle des activités de la Pharmacie.

COMPOSITION
Sont membres du comité du médicament:
    - Le Pharmacien chef de service (Président du comité)
    - Deux pharmaciens (dont un pharmacologue)
    - Les chefs de service médicaux-techniques
    - Un médecin pharmacologue
    - Le responsable des soins infirmiers
    - Un représentant de la Radio et Laboratoires
    - Le Directeur des affaires financières du CHU.
Le secrétariat est assuré par un pharmacien.

Telle est notre expérience au CHU de cocody Abidjan.

Professeur ATINDEHOU Eugène.
atingene@aviso.ci