[e-med] Une étude coût efficacité du traitement de première ligne du paludisme par arthemeter - lumefantrine

Vient de paraître une étude coût efficacité d'une thérapie combinée
du paludisme :
A cost-effectiveness analysis of artemether lumefantrine for
treatment of uncomplicated malaria in Zambia
Pascalina Chanda1, Felix Masiye*2, Bona M Chitah3, Naawa
Sipilanyambe1, Moonga Hawela1, Patrick Banda1 and Tuoyo Okorosobo4
Malaria Journal 2007, 6:21 doi:10.1186/1475-2875-6-21

Cet article est accessible en ligne à http://www.malariajournal.com/
content/6/1/21
voici un résumé de l'étude, aussi clair que possible.
Le problème de la thérapie combinée est qu'elle est plus coûteuse que
les traitements standards antérieurs. Mais comme elle est plus
efficace, que peut-on dire au total de son ratio coût efficacité.
L'étude publiée vise à répondre à la question.
L'étude repose sur des données réelles modélisées en Zambie, à partir
de 55 509 cas de paludisme traités dans des services de -santé ruraux
de 6 districts. Sont comparées :
  - traitement par sulphadoxine-pyrimethamine ("fansidar" (c)) SP
  - traitement par la combinaison artemether-lumefantrine AL
Si besoin, le traitement est répété, et un traitement de seconde
ligne (quinine) prodigué .
Sont inclus les patients traités pour paludisme suspecté (sans examen
de lame épaisse), à partir des données de la pratique de routine.
les critères d'efficacité retenus sont
  - le traitement réussi (plus de lame épaisse positive après 28 jours)
  - proportion de cas de paludisme sévère
              SP AL
cas traités 55 509 55 509
coût par cas traité total 6,19 US$ 7,34 US$
  médicaments 0,18 US$ 1,33 US $
  autres coûts 6,01 US$ 6,01 US $
traitement répété 41,9% 14,7 %
taux de succès 68,4 % 98,2 %
coût par cas guéri (total) 10,65 US$ 8,57 US$

Passer d'une stratégie (SP) à l'autre (AL) coûte 4,10 US$, par cas
supplémentaire guéri.
      
Le coût par cas guéri est en faveur de la combinaison avec artemether.
En outre, les coûts de traitement de seconde ligne (16,32 US $ )
augmentent le coût des cas traités par SP (3,29 US$) plus que les
coûts des cas traités par AL (0,11 US$). Le nombre de cas de
paludisme sévère est plus faible pour Al( 4,7%) que pour SP (48,1 %).
En tenant compte des coûts des traitements de seconde ligne, passer
d'une stratégie à l'autre permet de gagner 11,52 US$ par cas
supplémentaire guéri.
  Il semble également que la combinaison AL a entraîné une baisse de
90 % de la prévalence de cas positifs (lame épaisse) dans la saison
des pluies suivante.

On se reportera à la discussion inclue dans le papier. J'y ajouterai
deux choses :
  - Est utilisée une méthode de simulation mathématique, puisqu'on
considère simplement que tous les cas ont été traités par un
médicament ou par un autre. Il ne s'agit donc pas d'un essai
thérapeutique. Cette méthode n'est pas expliquée, sinon en disant que
les données ont été recueillies soigneusement.
  - inclure les coûts autres que les médicaments me semble peu
justifiable, puisqu'avec ou sans paludisme, les autres coûts sont
dépensés (amortissements, personnel). Inclure ces autres coûts
accroît la supériorité du traitement Al, puisque cette supériorité
provient de son taux de succès important.

Jérôme Dumoulin
jeromedumoulin@free.fr
33 (0)4 76 54 24 97

Chers e-mediens,
  Nous suggerons qu'une étude soit aussi effectuée par rapport au ratio coût efficacité de la combinaison arthémeter-luméfantrine et la combinaison artésunate-amodiaquine.
  En effet, la RD Congo qui a adopté comme politique de traitement de 1ère intention l'artésunate-amodiaquine se retrouve avec des problèmes d'acceptabilité de la combinaison surtout par les professionnels de la santé à cause de ses effets secondaires.
  Et pourquoi ne pas continuer à faire pression à Novartis pour qu'ils revoient leurs prix pour les PED et même céder la licence pour qu'on mette à notre portée des génériques du Co-Artem.

  Charly MAMPUYA W.M, B.Pharm
  Chargé de l'Atténuation de l'impact
  Coordination Provinciale du Bas Congo
Programme National Multisectoriel de Lutte contre le VIH/SIDA (PNMLS)
Tél: 00243 99 791 08 75
Rép. Démocratique du Congo

Bonjour monsieur Charly
et merci pour votre intervention sur le forum e-med
nous aussi nous oeuvrons dans le domaine de la santé (soins de santé
primaire en milieu urbano rural à la périphérie de Kinshasa)
nous aimerions rester en contact avec vous surtout dans la lutte contre le
vih sida
merci
Makonda Mbuta Emery
coordinateur de la S.C.D.I/ONGD/ASBL
télephone:+243818110118

Nouveau traitement contre le paludisme, fruit d'un partenariat public-privé
PARIS, 1 mars 2007 (AFP)
Par Véronique MARTINACHE
  
Un nouveau traitement simplifié et bon marché contre le paludisme, qui tue chaque année plus d'un million de personnes dans le monde, va être mis à la disposition des populations défavorisées, fruit d'un partenariat entre le groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis et la fondation DNDi.

Non breveté, ce traitement coûtera moins de 1 dollar pour l'adulte et 0,5 dollar pour l'enfant (marché public) pour un traitement complet sur trois jours.

"Ce produit est un modèle de partenariat entre différents acteurs poursuivant un même objectif", a souligné Bernard Pecoul, directeur exécutif de DNDi (Initiative pour des médicaments en faveur des maladies négligées), lors d'une conférence de presse jeudi à Paris.

Son lancement a été salué par le président de Médecins sans frontières (MSF), Jean-Hervé Bradol, comme "une embellie" qui "prend place dans un tableau quand même sombre".

Il s'agit d'une association à doses fixes d'artésunate (AS) et d'amodiaquine (AQ), deux médicaments connus, présentée sous le nom Artésunate-Amodiaquine Winthrop (ASAQ) pour les marchés publics et Coarsucam pour les marchés privés. ASAQ est aussi l'acronyme de "Adaptée, Simple, Accessible et de Qualité".

Les associations à doses fixes réunissent deux médicaments dans un seul comprimé, au lieu de deux comprimés séparés, facilitant la bonne observance du traitement, en particulier pour des populations très pauvres et illettrées.

L'association AS et AQ est l'une des combinaisons recommandées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) contre le paludisme en Afrique, face à la résistance des parasites aux médicaments antipaludiques classiques.

La nouvelle formulation permettra de limiter le traitement pour un adulte à 2 comprimés par jour en une prise pendant trois jours. Trois dosages différents ont été développés spécifiquement pour les enfants de 2 mois à 13 ans, pour qui un seul comprimé par jour sera nécessaire.

Pour les nourrissons et les petits enfants, les comprimés seront plus petits et pourront être écrasés et mélangés à des aliments liquides ou semi-liquides.

ASAQ sera proposé à prix coûtant aux structures publiques dans les pays endémiques, aux institutions internationales, aux ONG et aux pharmacies adhérant aux Programmes d'accès aux antipaludiques de Sanofi-Aventis.

Il sera mis à disposition "dès la mi-avril dans une quinzaine de pays d'Afrique", a indiqué Robert Sebbag, vice-président de Sanofi-Aventis. Les capacités de production du laboratoire, dans son usine de Casablanca au Maroc, sont actuellement de "18 millions de traitements par an", a-t-il précisé.

Le paludisme reste la cause la plus importante de décès des enfants de moins de 5 ans en Afrique, tuant un enfant toutes les 30 secondes.

Le nouveau traitement a été testé sur 750 enfants de 6 mois à 5 ans au Burkina Faso, avec un taux d'échec de seulement 4%, a indiqué le Dr Sodiomon Sirima (Centre de recherche et de formation sur le paludisme).

Pour le Dr Ogobara Doumbo, qui l'a utilisé sur 5.000 enfants au Mali, "c'est un éléphant qu'il faut abattre" pour arriver à apporter ce traitement aux populations les plus vulnérables, "dans les villages". Le Dr Doumbo a également insisté sur l'importance d'assurer le contrôle de sa qualité à long terme.

La fondation DNDi est une organisation à but non-lucratif fondée en 2003 à l'initiative de MSF. Sanofi-Aventis est le numéro quatre mondial de la pharmacie.

Dr A. Kisi Mundiete
Master in Public Health
Programme/Project Manager
     
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{un message qui circule sur le net en ce moment, mais c'est une bonne
idée...CB]

Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route,
Les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des
interventions, on ne sait pas qui contacter des ces listes interminables de
contacts.

Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun rentre dans sa liste des
contacts, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme.

Le pseudonyme internationalement connu est ICE (= In Case of Emergency).

C'est sous ce nom qu'il faudrait entrer le numéro de la personne à contacter
utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers
secours.

Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser
*ICE1, ICE2, ICE3,* etc.

Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup.

Si vous pensez que c'est bien, faites passer le message afin que ça rentre
dans les moeurs

"Pharmacies par terre" : QUESTION DE MAUVAISES HABITUDES ?
l'Essor n°15911 du - 2007-03-12 08:00:00
Mali

Les DCI ne sont pas chers, on peut par exemple se soigner pour 1000 Fcfa ou 1500 Fcfa
Malgré plusieurs mesures prises par les pouvoirs publics, notamment la promotion des DCI et la réduction de leurs prix, nombre de nos compatriotes ont encore recours aux médicaments vendus dans la rue

Les habitudes ont la vie dure. Malgré les efforts des pouvoirs publics, le phénomène des pharmacies dites "par terre" persiste. Un petit tour à travers la capitale suffit pour se rendre compte de l'ampleur de cette tendance. Pourtant, le gouvernement a fait de gros efforts pour combattre le fléau en faisant substantiellement baisser les prix des médicaments et en faisant la promotion des médicaments essentiels communément appelés DCI (dénomination commune internationale). En effet, en 2003, les prix des DCI avaient été réglementés dans le secteur public. Ce qui s’est traduit par une réduction de prix allant de 3 à 64 % selon les produits. Le 25 janvier 2006, le Conseil des ministres adopta un décret fixant les prix les prix des médicaments essentiels dans le secteur privé. Le décret fixe les prix de 107 médicaments. Il en résulte une baise globale de l’ordre de 31,5 % des prix dans le privé.

UN CRÉNEAU PORTEUR : Adama Diawara est le chef de la division "assurance, qualité et économie du médicament’’ à la Direction de la pharmacie et du médicament. Il explique que les raisons de la persistance du phénomène sont bien connues. "Les populations à faibles revenus sont simplement attirées par le côté bon marché de ces médicaments. Les prix des médicaments par terre défient toute concurrence et on n’est pas obligé d'acheter une boîte complète. Tout se vend au détail près. De prime à bord, cela semble économique par rapport au coût des ordonnances parfois trop élevé. Mais en réalité, il n'en est rien", explique le responsable. C'est vrai, admet-il que beaucoup de jeunes choisissent le créneau de la vente illicite de médicament pour des problèmes d'emploi et surtout pour la rentabilité du créneau pratiquement incontournable aujourd'hui.

Djimé Dembélé est, lui, le médecin chef au Centre de santé communautaire de Bamako-Coura. Il estime que le problème est beaucoup plus complexe. "Je ne pense pas que la pauvreté soit en cause. Les DCI ne sont pas chers. On peut par exemple se soigner pour 1000 Fcfa ou 1500 Fcfa. Je reçois tous les jours des gens qui ne sont pas fortunés mais qui réussissent à se soigner sans aller acheter les médicaments dans la rue. L'attitude qui consiste à se soigner seul sans consultation d'un médecin, c'est à dire l'automédication est, à mon avis, favorisée par le manque de répression de la part des services compétents en la matière", juge Dembélé. Un autre facteur qui favorise la tendance est ce que le médecin considère comme "la relativisation de la maladie" chez nous. En effet, nombre de nos compatriotes pensent connaître le remède à leur maladie et estiment qu'il n'est pas nécessaire de consulter un médecin. "Pourtant en se soignant au hasard avec les médicaments achetés dans la rue, on court de gros risques d'aggraver son mal ", avertit le responsable sanitaire.

Et dire que, toujours selon Djimé Dembelé, l'aggravation de la maladie n'est pas le plus grave des nombreux risques encourus en utilisant ces médicaments illégaux !

VRAIMENT NUISIBLES : "Les risques liés à la modification des molécules généralement causée par l'exposition des médicaments au soleil sont énormes. Dans le meilleur des cas, le médicament est inactif, et dans le pire, cela peut aller jusqu'à la perforation gastrique, à la syncope ou à l'insuffisance rénale. Ne parlons même pas de la résistance aux bons médicaments qu'engendre l'usage de ces médicaments qui diminuent considérablement l'efficacité des bons traitements", appuie de son côté le directeur du Laboratoire national de la santé, Gaoussou Kanouté.

"Les risques sont encore plus élevés chez les enfants, renchérit Djimé Dembbélé. Car, ni les vendeurs ni les parents ne connaissent la composition du produit encore moins sa posologie. Les risques d'intoxication très graves sont élevés chez les enfants. De plus, la prise de médicaments illégaux pose des problèmes pour le diagnostic, puisqu'ils enlèvent les signes cliniques sur lesquels on se base pour déterminer la maladie. Au finish, le traitement revient encore plus cher pour le patient qui a utilisé ces médicaments". "Et surtout qu'au prix des médicaments de la rue vient s'ajouter le coût de l'ordonnance quand en désespoir de cause, on se résout finalement à consulter un médecin", relève Dembelé.

Comment ces médicaments que l'on peut considérer comme des poisons, continuent d'être vendus librement dans nos rues et dans les divers marchés un peu partout dans le pays ? Une commission nationale de lutte contre la vente illicite de médicaments, ainsi que des comités régionaux, ont pourtant été mis en place depuis 1999. Regroupant des douaniers, des policiers, des économistes, ainsi que des membres de l'ordre des pharmaciens, d'associations, de la société civile, de l'administration, et des municipalités, cette commission se réunit deux fois par an. Elle bénéficie de fonds alloués par l'État, mais qui selon ses responsables "sont très limités". Ce qui selon le chef de la division "assurance, qualité et économie du médicament" à la Direction de la pharmacie et du médicament, Adama Diawara, expliquerait les difficultés à effectuer des opérations de répression sur le terrain.
"L'organisation de ce genre d'opération nécessite des sous", poursuit-il. "Si vous voyez que les forces de sécurité n'agissent pas quotidiennement, c'est le plus souvent par peur de se faire lyncher quand ils ne sont pas en nombre suffisant. De toutes façons, les petits vendeurs ne sont que le dernier maillon d'une chaîne qu'il faudrait remonter et démanteler", explique Diawara.

Un ancien membre de la Commission nationale de lutte contre la vente illicite de médicaments, pour des raisons que l'on comprend a tenu à témoigner sous le couvert de l'anonymat. "J'ai quitté la Commission le jour où un haut responsable, pour justifier le laxisme dans la répression contre ces médicaments illégaux, par le fait que l'activité est source de revenus pour de nombreux jeunes. J'étais vraiment sidéré. Mais des gens vivent aussi de la vente de la drogue ou du vol ! Surtout qu'il s'agit d'un problème de santé publique". Il estime que l'heure n'est plus à la sensibilisation. "Il faut que l'État agisse en faisant recours aux compétences de plusieurs départements ministériels, tant le problème est complexe".

UN PEU D’AMÉLIORATION : Diawara, lui, préconise une relecture des textes réprimant la pratique et un contrôle plus rigoureux aux frontières. Pour le chef de la division "assurance, qualité et économie du médicament’’, il est en effet difficile d'éradiquer le phénomène au seul niveau national. "Le marché des médicaments illégaux représente 32 milliards de dollars (environ 1600 milliards Fcfa) de chiffre d'affaires annuel au niveau mondial", appuie Gaoussou Kanouté du LNS, "le problème est donc loin d'être seulement national. Le phénomène est en passe de prendre la dimension du marché de la drogue. Je pense donc qu'il est nécessaire d'instaurer les mêmes moyens de lutte contre les deux fléaux : contrôle rigoureux aux frontières et répression à l'intérieur du pays".

"La baisse globale de 31,5 % des prix des médicaments essentiels (DCI) a quand même un peu amélioré la situation", tempère Fadiga, le directeur de la Pharmacie populaire du Mali qui approvisionne prioritairement les pharmacies publiques. Ces dernières ont des prix fixés qu'elles ne peuvent pas augmenter, tandis que les officines privées ont un prix plafond (certes plus élevé). Dans cette fourchette, elles fixent les leurs prix en fonction de leur stratégie commerciale". Une approche commerciale que critique Djimé Dembélé. "Les médicaments ne sont pas des marchandises, il ne faut pas que ça soit un commerce comme les autres", estime-t-il. Faudra quand même que ceux qui ont choisi le métier de pharmacien vivent de leur boulot.

Un autre problème (bien pertinent) soulevé par le médecin chef du Cescom de Bamako-Coura est le fait que beaucoup de ses collègues n'ont pas encore le réflexe de prescrire des DCI, alors que ce faisant, on peut diviser le prix du traitement par deux. "Au Mali, 90 % des maladies sont traitables avec des médicaments essentiels, alors que la seule différence entre ceux-ci et les spécialités est que le médicament est tombé dans le domaine public".
C'est vrai que les médicaments des pharmacies classiques restent relativement chers malgré les efforts du gouvernement. Tout de même, il y a d'autres possibilités de se procurer des médicaments à moindre coût : recourir aux DCI ou s'approvisionner dans les pharmacies des structures sanitaires.

Hélène JEANMOUGIN

J'avais effectivement reçu ce mail que j'ai fait
suivre, mais j'ai préféré mettre "A prévenir"
comme nom ; ainsi ça se place en tête de la liste
alphabétique et c'est évident pour toute personne
qui consulte le portable.
L'un n'empêche d'ailleurs pas l'autre

Odile Vairel : Directrice de l'OICD
Organisation Internationale pour la Coopération et le Développement
Les Corolles - 10 rue Paul Gauguin - 31100 Toulouse - France
Tel : (33) 561 44 41 12 - Fax : (33) 874 51 63 86
Email <oicd.ov@globenet.org>
http://oicd.org.free.fr

Bonjour
   
  Il s'agit effectivement d'une bonne idée concernant l'inscription de ces adresses, qu'il s'agisse du sigle "ICE" ou "A PREVENIR".
  Mais l'essentiel reste le réflexe qu'il faut développer chez les ambulanciers, les Pompiers, ou la Police pour leur faire consulter systématiquement les téléphones portables de ceux qui ont besoin de secours.
  Si cela semble naturel dans certains pays (notamment européens où le système de SAMU est bien développé et fonctionnel), il n'en est pas de même dans nombre de pays en Afrique où ce système de secours immédiat n'existe pratiquement pas, ou ne fonctionne pas comme il le devrait.
  Il faudrait donc à mon avis, en plus d'inscrire ces sigles et numéros sur les téléphones, organiser une campagne d'information tous azimuts pour le grand public et les différents acteurs, afin de développer ce réflexe de consultation des adresses du téléphone portable.
   
  Dr Bérenger KIEMA
  kbasga@yahoo.fr

Hé les amis,

Voici une idée formidable qui ne doit absolument pas perdre de temps dans sa
mise en exécution
Je pense que "A Prevenir" pour avoir le nom en tête de la liste des contact
est une très bonne idée
Il nous faut trouver la même chose en Anglais pour situer le même contact en
2ème position et idem avec les autres langues principales !!!!
Ainsi on réserve les 5 !!! premières antréee pour sauver les vies.

Je propose que cette idée une fois bien calée soit médiatisée au maximum
Et encore Bravo aux initiateurs (trices)

Youssouf Issabré
Directeur Général

Fondation Mérieux Mali
Rue du Docteur Charles Mérieux - Ex base aérienne
BP E. 2283 Bamako - MALI
       
Tél : + 223 490 02 84
Fax : + 223 222 51 55
Cell. Port. : +33620088740
Roaming : + 223 636 75 25

youssouf.issabre@fondationmerieux-mali.org
youssouf.issabre@eu.biomerieux.com
http://www.fondation-merieux.org/fr-index.htm

En Afrique, le réseau est moins performant,
Le mieux serait de passer tout simplement un accord avec les opérateurs de
téphonie GSM afin que d'une part les sigles "ICE" ou "A PREVENIR" soit un
mot clé nouveau joingnable d'une part: même hors abonnement de type 112
(URGENCE) pré-enregistré et d'autre part pour éviter que l'on appelle un
numéro favori au frais du roi de Prusse, la transmission d'un SMS automatisé
et dont le texte est pré-inscrit et non modifiable.
Enfin : une borne réseau est aussi bien qu'un GPS en Afrique puisque qu'il
permettrait, selon une procédure déposé à la CNIL (ou équivalent) une
géolocalisation du Mobile en question (donc de l'accidenté), (passant par
le réseau des SAMU/ EUPOPASSISTANCE... ou autres et effacés au bout de
quelques jours ou quelques heures.

Il serait possible donc pour le receveur du SMS de connaître à l'avance si
son parent est dans la gueule du Crocodile du nil ou dans celle d'un
Anaconda brésilien.

José Manuel BOUDEY
Expert Biotechnologie et Industrie Pharmaceutique
Economiste et juriste Droit de la Santé
Mobile +33 (0) 6 84 528 550
jose.boudey@libertysurf.fr
askboudey@yahoo.fr
PS Help save paper - do you need to print this email?

Bon les amis,
Je voudrai savoir si nous avons tous commencé à agir sur nos propres
"portables"
Moi je commence de suite et le dernier des e-mediens à le faire paye 10
euros aux pompiers!
Et puis j'en parlerai autour de moi à chaque fois, et je fais un SMS à tous
mes proches et en particulier à "A Prévenir" afin qu'ils soient au courant.
Allons y les amis !

Youssouf Issabré
Directeur Général

Fondation Mérieux Mali
Rue du Docteur Charles Mérieux - Ex base aérienne
BP E. 2283 Bamako - MALI
       
Tél : + 223 490 02 84
Fax : + 223 222 51 55
Cell. Port. : +33620088740
Roaming : + 223 636 75 25

youssouf.issabre@fondationmerieux-mali.org
youssouf.issabre@eu.biomerieux.com
http://www.fondation-merieux.org/fr-index.htm

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